Pour l'Avent, en arrière toute
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Tristes "décos"
C'est "chaud"
Expression simpliste qui signifie "c'est un peu juste".
Trop juste.
Huit cars dont un en dehors du parking et trois camping-cars, je crains que les dimensions soient un peu trop restreintes pour répondre à la demande.
Les deux autres véhicules sont à une entreprise locale.
C'est vrai que ça fait restreint.
Nos amis italiens sont venus en force, ce qui est bon signe mais je doute que la capacité réponde, espérons que pour les journées chargées des dispositions seront prises. (Mes suggestions dans des pages antérieures)
On perd facilement 30% de place.
A mon avis....
....Çà c'est superflus, d'autant que ça sert déjà de poubelle, mais comme il n'y en a pas difficile de trimballer ses petites ordures là où il pourrait y en avoir.
Vers la sortie peut-être !
C'est marqué dessus. (La sortie)
Mais en totale discordance avec les tracés au sol, assez étonnant sachant que la sortie est dans l'autre sens.
Si, c'est marqué.
Bon, d'accord, on ne peut demander l'impossible et puis savoir si le panneau a été placé après les plantations ou le contraire ! Mais on ne peut s'empêcher de se poser la question de savoir si toute la lumière brille normalement dans certains cerveaux.
Elle ne brille déjà pas beaucoup là où elle le devrait ! (Voir la suite de cette page)
Ou alors c'est une plaisanterie pour obliger les automobilistes à chercher le panneau, déjà que le tracé au sol est complètement farfelu !
Suivez les flèches.
Ils vont jouer à "tournez manège" les touristes.
En fin de compte je me demande si Mrs Gryzka et Murgiat n'ont pas eut raison en dénonçant la restriction des places et moi tort en pensant que ça irait.
Le glacis du Champ de Mars.
Du moins une partie, vous savez ce parterre de "verdure" si bien éclairé la nuit.
Le Janus et l'Infernet.
Vus de ce même glacis.
La route d'Italie.
Au fond Montgenèvre.
Le hameau de Fontenil.
Traversé par la Durance et son premier barrage à 6 km de sa source.
Il est vrai que le plus gros de cette rivière c'est la Clarée qui prend sa source au-dessus de Névache au lac de la Clarée sous l'Aiguille Noire.
Le fort des Salettes.
Au fond le Chaberton dans les nuages neigeux.
Gorges de la Durance.
Sous le fort du Château.
Le pont d'Asfeld.
Côté fort des Trois Têtes.
Le fort des Trois Têtes.
Le Mélézin.
En léger saupoudrage.
Les Têtes de Sainte Marguerite.
Egalement en saupoudrage.
La Chaussée.
Les illuminations chétives s'allument avant les lampadaires, pour qu'on les voit un peu bien qu'il ne fasse pas nuit, l'éclat de l'éclairage public va estomper ce maigre effet festif.
La foire de l'Avent.
Pas vraiment une réussite décorative, les "illuminations" datent de plus de dix ans et sont franchement dépassées.
La rue Centrale.
Pas encore illuminée, mais ça va venir.
Des personnages sympathiques.
Qui vont avoir du travail pour convaincre que c'est la fête.
Toujours rue Centrale.
Aux couleurs de fêtes. Enfin presque.
Rue et place Centrale.
"Décorées".
Rue Centrale.
Côté Izoard. Illuminée. Euh !!!!!!
Place de l'Europe.
Décorée et illuminée. Si si, cherchez bien, il y a une guirlande de rue au fond.
La même.
De l'autre côté.
"Quartier" italien de la foire.
Aux couleurs vives, heureusement, ça relève la pauvreté des illuminations.
De beaux étals.
Attirants.
Au fond, Mme Guérin, conseillère municipale.
Vous ne la voyez pas mais j'ai failli la bousculer pour passer, elle ne m'a pas vu. Ouf, je ne voudrai pas quelle fasse des cauchemars.
Des fourrures.
Pour compenser des fou-rires que vont déclencher les illuminations.
Foire de l'Avent.
En arrière.
Certains exposants semblent dubitatifs face à ces animations briançonnaises, il y a quand-même une "sono" qui nous balance des gueulements anglo-saxon "chantés" par des interprètes asthmatiques.
Une cacophonie qui n'a pas grand-chose à faire dans une fête comme celle-ci.
Mais il y a du monde.
Illuminations de Central Parc.
Si, dans le sapin.
Rue Centrale.
Avant de remonter.
La Collégiale.
Vue de la rue Maurice Petsche.
La porte Dauphine.
En vieille ville et ses illuminations.
Arrêtez de vous marrer, elle n'a que sept ans celle-là. (L'illumination, pas la vieille ville)
La Collégiale et le Montbrison.
Idem.
La porte de Pignerol.
Et ses illuminations.
Place Vauban.
Que j'appelle toujours place Dauphine.
Heureusement que Jeannot est ouvert, pour donner un peu de lumière dans cette partie de vieille ville qu'on voit depuis le rond-point de Saint Chaffrey.
La Grande Gargouille.
Ou Grande Rue en vieille ville.
La même.
Quelques touristes italiens et la moitié des boutiques fermées.
Angle rue du Temple.
Et son UNIQUE illumination.
Place parking du Temple.
Aux voitures rutilantes pour les fêtes.
Mais bon, quand on tient un commerce on peut bien exposer, en face, son véhicule pour attirer les touristes même s'ils viennent pour les monuments, éclairés ou non.
D'ailleurs ça tombe bien.
Les places préférentielles sont occupées pour la nuit, le panneau ne doit être visible qu'au "flash".
Un brave jeune homme en bonne santé vient de garer la sienne, il n'a pas eu l'air d'apprécier mon cliché mais ne m'a rien dit, dommage, j'attendais un peu çà mais je ne suis pas habilité à lui faire d'autorité la remarque sur son exceptionnel stationnement à cet endroit si fragilisé.
Bien que ce serait terrible, ce serait marrant que le lendemain on retrouve en bas toutes ces voitures au milieux de gravas de remparts écroulés dans la nuit. (Patience, ça va venir)
Clochers de la Collégiale.
Presque entièrement rallumés.
La cadran solaire est éclairé, mais pas du bon côté pour avoir l'heure, pour ça il y a l'autre pendule, dans l'ombre.
Parking et rue du Temple.
Stationnement gratuit jour/nuit.
Rue du Commandant Carlhan.
Et ses places de parking, gratuites réservées jour/nuit, pour une potentielle vente au touristes.
La Petite Gargouille.
Vue sur la place du Temple et la Collégiale.
Porte et rue Méane.
Au fond une illumination.
Au premier plan la lèpre historique des façades visibles de toute la ville.
L'avenue Vauban.
Dans sa partie basse, l'ancienne mairie et la collégiale sur fond de Croix de Toulouse.
A noter un net effort effectué (Peut-être le seul) pour mettre lumineusement en valeur les façades grâce au nouvel éclairage de la place Eberlé.
On aurait aimé que l'ensemble des fortifications soit aussi mis en valeur.
Place Eberlé.
Sur fond de Mélézin.
Une réussite, soyons honnête et juste.
Au-dessus de Briançon.
La nuit. (Du moins à la nuit tombante)
La Chaussée.
Ou rue de la République.
La Grande Gargouille.
Dans sa partie basse, bizarrement plus animée que la partie du haut, c'est souvent l'inverse.
Rue du Pont d'Asfeld.
Le clocher de la Chapelle des Pénitents Noirs, qui gagnerait à être mis en valeur par une réfection et un éclairage subtil.
Ce clocher est le rescapé du dernier incendie, la charpente interne est d'un exceptionnel bon état mais le lieu est squatté, va-t-il lui aussi finir en fumée ????
Briançon sous les remparts.
Restaurant La Caponnière.
Dans la petite Gargouille.
A deux pas de la Collégiale.
Sortir de diner, la nuit, avec ou sans neige, c'est féérique et d'un calme exceptionnel vers 23h00. (Sauf le 14 juillet et la nuit du nouvel an)
Les illuminations de Briançon sont loin de répondre à la demande et loin de valoriser un patrimoine qui mérite d'être mis en valeur de nuit, beaucoup de gens me l'ont dit.
Il semblerait qu'il y ait quelques défaillance à la direction des services techniques, c'est du moins ce qui est admis donc certainement réel.
Savoir aussi si la municipalité s'attache à valoriser briançon ou simplement tirer profit des travaux de constructions plus rémunérateurs en "petites enveloppes" (Connu mais il ne faut pas le dire) que de remettre en route le potentiel qui peut sauver les finances de la ville par le retour massif de touristes quelque peu déçus de ce qu'ils ont vu par rapport à ce qu'ils étaient venus voir.
Savoir aussi si l'explosion des impôts locaux (600 € pour un trois pièces en HLM habités par des gens modestes qui sont en train de "crever" sous toutes ces charges incessantes) prend en compte les rénovations qui permettrait de redonner à Briançon son éclat perdu. (Responsabilités partagées par les municipalités successives, de gauche comme de droite)
Savoir aussi si le débile virus écologique qui fait faire plus de conneries que de bienfaits va dans le sens qu'on voudrait bien lui attribuer.
On a une belle ville qu'on massacre et qu'on laisse pourrir, même avec quelques travaux qui auraient dû être fait depuis plus de dix ans.
On devrait aller de l'avant mais pour l'Avent on va en arrière de la logique pour avancer vers l'obscurité des prochaines factures.
Une suite probable.
Bon dimanche à tous.
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