Panier de crabe chez la patronne
Même en faisant semblant on se fait niquer.
Couper avant la fin.
Il y a dans la vie, comme au cinéma, les scénarios alléchants des futurs films prometteurs, mais souvent des désillusions et des regrets.
Les regrets c'est la pratique française depuis environ quinze ans, surtout en politique, ces administrés aveugles et ces indépendants ignorants.
Qu'est-ce donc que ces indépendants ignorants ?
Ce sont ceux qui ne s'inscrivent pas sur les listes électorales laissant aux autres le soin de décider pour eux mais qui s'insurgent que ces autres prennent des décisions qui ne leur plaisent pas.
Ce sont aussi ceux qui sont inscrits mais qui ne vont pas voter parce que c'est Dimanche, qu'on est en famille, et puis ça fait chier de faire la queue à un bureau de vote pour ne pas savoir pour qui voter, donc ce sont surtout les indécis et les abstentionnistes qui sont les vrais responsables de la mise en place des nullités d'État qu'on ramasse depuis une quinzaine d'années.
J'ai une phrase pour ces lavettes, une phrase qui ne plait pas mais qui est très adaptée :
QUAND ON NE VOTE PAS ON FERME SA GUEULE.
Maintenant, voter c'est aussi faire un choix, il y a ceux qui vont voter parce qu'on leur en a donné le droit mais sans savoir pour qui, même dans l'isoloir ils ne savent pas quoi mettre dans l'enveloppe, des gens sans conviction, ignorants de la politique ne se satisfaisant que des miettes qu'on leur donne, si ça suffit à leur égoïste petit bonheur c'est bien suffisant, ce qui se passe chez les autres on n'en a rien à branler.
La voiture à crédit, la bouffe LiDL, les jeux à gratter, l'apéro familial ou au bistro - quand ils rouvriront s'ils rouvrent un jour - la réunion de famille le dimanche et métro-boulot-dodo-baise pour satisfaire le quotidien ; et puis si besoin il y a les aides sociales pour aller au bistro et acheter des jeux à gratter, les restos du cœur pour la bouffe, le secours populaire ou catholique pour se fringuer ; alors pourquoi se faire chier la bite à en vouloir plus ! (Vous constaterez que j'utilise souvent mon langage primaire et ma diction déficiente, on ne se refait pas et c'est pour rester dans le ton)
Alors si en plus il faut mettre un clown à la tête de ceci et de cela on s'en branle les cacahouètes, le ministère de la désÉducation Nationale se charge de formater les jeunes cerveaux en passant sur les matières essentielles pour focaliser sur ce qu'on exigera des futurs citoyens induits à devenir de parfaits consommateurs ; on insiste sur des sujets communautaires, on tartine sur certaines périodes de la dernière guerre qui décidément reste le fantasme préféré de la politique de dérision, on leur apprend l'humanitaire en évitant surtout de parler des conséquences, on leur apprend à se repentir et à s'excuser d'avoir envoyé la jeunesse d'antan se faire massacrer pour supposément "massacrer" ceux qu'on a créé il y a presque 200 ans en leur apportant la cohésion, la société et la démocratie, c'est la repentance nationale.
On passe donc en 6ème avec un niveau cour élémentaire des années 1980 et on obtient un bac en passant un examen plus facile que le certificat d'étude des années 1960, ça fait des députés pitoyables, des élus ignares et des chefs de quelque-chose limite analphabètes, pour un pays qui a sombré comme l'a fait la France c'est bien suffisant.
Ignorer la politique c'est se satisfaire de ce qu'on a sans s'occuper de savoir si d'autres ont la même chose, chacun sa merde, mais c'est aussi se dire que du moment qu'on a un guignol qui gesticule devant des caméras pour amuser la galerie, et surtout pour s'autosatisfaire, c'est bien assez.
Parader devant un parterre de sympathisants convaincus c'est du vrai beurre, des projecteurs et un peu de musique de circonstance ; les meetings divers n'attirant que ces sympathisants convaincus on peut dire qu'au royaume des aveugles les borgnes sont rois, et comme j'ai marqué dans un courrier que je dévoilerai dans quelques temps : "en politique il n'y a pas besoin de lumières, juste des ampoules de rechange, même celles qui sont éteintes".
Tout le monde peut constater que dans son entourage on a toujours un élu qui de sincère devient convainquant sur des mensonges et des artifices, quand on se présente pour être Maire en rêvant d'être rapidement député afin de lorgner une place de ministre les scrupules partent à la poubelle et la tête gonfle en faisant gonfler quelques-autres de l'entourage. (Certains locaux se reconnaitront)
Et puis il y a les autres administrés, la minorité, ceux qui ont des convictions, ou qui pensent en avoir avant la grande désillusion ; ce sont ceux qui votent par conviction et adulation, persuadés que leur choix va faire changer ce qui ne change pas parce qu'en finalité la politique reste la même quel que soit l'élu(e).
On aimerait bien souvent pouvoir couper avant la fin, soit la fin d'un mandat soit la fin des illusions, celles qu'on fait miroiter avant élections.
J'ai coupé mes illusions - photo - encore que j'avais un gros doute, quand on analyse les choses et qu'on observe bien on constate que quel que que soit le parti politique il y a un (ou une) chef qui ne souffre pas être submergé, quand on analyse encore un peu plus on réalise que les chefs sont tous issus de milieux aisés, voir de l'aristocratie moderne en gardant tout de même le fonctionnement monarchique d'antan.
Alors ceux à qui mes pages ne plaisent pas je pourrais les comprendre, je suis assez primaire, plutôt vulgaire, d'une éducation médiocre et d'une intelligence passable, pas de quoi se lever la nuit pour se regarder dormir, j'écris comme je parle et je parle comme je pense, c'est-dire que je ne m'encombre pas de formules choisies ni de soigner mes textes, je ne m'adresse pas à l'aristocratie intouchable mais au commun de la population dont je fais partie.
En fait dans la logique des choses la population c'est ce qui constitue un peuple, tous citoyens confondus, sauf peut-être ceux qui se sentent au-dessus du peuple qu'ils dédaignent mais dont ils ont besoin pour justement rester au-dessus de ce peuple qui les adule de le maintenir dans les couches sociales dite inférieures.
Personne n'y échappe, pas plus au Rassemblement National ; quand on fouille un peu on réalise que la dynastie Le Pen c'est de l'aristocratie qui n'a pas à s'inquiéter comment finir financièrement le mois, c'est de la famille aisée, bien posée avec valets, chauffeurs particuliers et domestiques, bien assise et qui aimerait bien briller autrement qu'à travers la diabolisation qui l'accompagne.
Alors pour parvenir on a des cartes à jouer, les cartes sensibles, l'immigration, qui est réelle, la violence sociale, qui est réelle aussi, que ni Le Pen ni d'autres ne combattent parce que le système politique implique de s'abaisser pour monter, un paradoxe. Faire semblant de combattre médiatiquement avant d'être élu c'est comme acheter une voiture sans moteur, une fois dedans ça n'avance plus.
S'abaisser en politique s'est se plier à ce que le vrai pouvoir exige. Le vrai pouvoir ce n'est pas le Président de la République, ce ne sont pas les ministres divers et interchangeables dès que le peuple gronde, ce ne sont pas les députés ni les sénateurs qui ne cherchent la place que pour les avantages que ça procure, achetés par les multinationales et enrichis par les grands groupes financiers internationaux puisque tout s'achète, même le Pape. Le pouvoir qui dirige réellement est ailleurs, dans l'ombre, pour avoir le profit sans les inconvénients.
La prouesse politique c'est d'avoir des convictions de base tout comme en religion, ceux qui sont en bas de la pyramide sont sincères, dévoués, ils y croient dur comme fer et s'abreuvent des bonnes paroles de ceux qui sont un peu plus haut dans la pyramide mais avec déjà moins de convictions puisqu'on les appâte déjà pour dénicher la matière première que sont les adhérents qui entretiennent le système et qui sont les gens de base, sincères et indispensables.
Puis plus on monte et plus les convictions disparaissent, on les remplace par des promesses alléchantes hiérarchiques possiblement rémunératrices, plus on monte et plus le fric remplace les convictions qui s'éteignent par réalisme ; ceux qui ont des couilles s'arrêtent avant d'être corrompus, les autres se disent que la vie est courte et de s'enrichir sans effort autres que de donner des ordres à la sous-hiérarchie c'est mieux que se se faire chier à se lever le matin pour subir le joug d'un chef quelconque pour un salaire de misère d'où il faut tirer de quoi entretenir les aristocrates, en usine, sur les chantiers, sur la route, dans des commissariats ou brigades de gendarmerie, dans des tribunaux à ressasser chaque jour presque la même chose, dans des bureaux comme sous-fifres, dans des administrations où on est obligé de sanctionner la faiblesse et l'ignorance au nom d'un règlement, etc..
Quand on monte et qu'on commence à avoir une bonne place hiérarchique on a le sentiment de devenir invulnérable, pour peu qu'on sache bien sucer les bites aristocratiques on a des chances d'avoir la seconde place ; mais là on a envie aussi de prendre la première, c'est là que la tête fait tomber les têtes et remplace les prétendant par des seconds plus affables et indéfectiblement aux ordres, se contentant de la seconde place en se disant que si Marine Le Pen passe un beau poste de ministre c'est toujours bon à prendre. On en regorge au gouvernement ces dernières années de ces incompétents élus par complaisance et copinage.
Les petits blancs et les petits noirs.
Ceux qu'on exploite pour la politique : les premiers sont de Grigny (91) - que je connais bien - en 1978, les seconds sont aussi de Grigny en 2018, cette photo-montage je l'ai découverte sur Facebook qui a dû oublier de la censurer, ce qui est étonnant, en ce moment ça censure à tout va les réseaux sociaux, mais plus sur le sujet Covid que sur le sujet immigration qui passe au second plan ; et puis on laisse cette matière première au Rassemblement National qui s'en sert largement pour étayer ses argumentations, ce qui permettra, si par miracle ce parti passe, de le démolir sur ce sujet précis. Ça s'appelle de la politique de préférence.
Si effectivement l'immigration est envahissante et dangereuse c'est aussi parce qu'on s'en sert pour ça, pour prouver qu'on a raison il faut en apporter la preuve, pour ça il faut posséder cette preuve, je ne doute pas un seul instant que si le RN passe au bout de quelques mois des raisons inverses seront avancées pour avouer que le problème est plus complexe qu'il ne l'apparaissait, on va découvrir qu'il y avait des dossiers inconnus, des situations cachées etc.. Bref la classique politique entre d'avant et d'après élections.
Si l'ultra-gauche a sur le pouvoir en place la force actuelle, et si ce même pouvoir laisse faire, c'est parce que ça sert plusieurs causes : Les gens étrangers importés - pour servir diverses causes et mouvements, et travailler au noir dans certains secteurs incontrôlables - semblent n'être pas à l'aise chez eux mais ne le sont pas plus chez nous, sauf que chez eux s'ils la ramènent ils se font "désinguer" alors que chez nous on les chouchoute, franchement ils auraient tort de ne pas en profiter ; savoir que ces immigrés importés en masse ont la protection de diverses communautés bien implantées en France qui ont sur le pouvoir illusoire en place une énorme influence, on commence à deviner ce qu'il y a derrière. De les "parquer" dans des citées ça permet de faire monter la pression, là aussi c'est stratégique, un pays en effervescence c'est plus facile à soumettre.
La délinquance ça se fabrique et ça s’entretient, c'est presque indispensable, ces gens parqués et délaissés on les augmente pour augmenter les pressions, c'est aussi une stratégie politique, le travail pour eux est pratiquement inaccessible, quand on n'a pas ce qu'on nous promet pour venir on va le chercher là où c'est facile ; dirigés dans l'ombre par des partis politiques douteux ils sont manipulés.
Quand il y a le feu dans les banlieues ce n'est pas la spontanéité d'une insurrection locale, c'est une préparation organisée qui correspond toujours avec une magouille politique et une décision douloureuse, je ne crois pas aux partis politiques miracles qui auraient la baguette magique pour apaiser les tensions, dès qu'on entre en politique on entre dans un système truand qui impose de se plier aux directives plus avant décrites dans cette page.
Si le RN passe aux prochaines élections présidentielles rien ne changera d'autres que les illusions, il y aura bien entendu quelques coups d'éclats médiatiques puisque les médias auront changé de camp, on va chercher les subventions là où on les donne, le RN a autant besoin des médias que l'actuel gouvernement et il les subventionnera de la même façon.
Affaire à suivre de très près, j'expliquerai plus en détail ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai largué ce que je pensais utile et que je découvre vicieux, ça touche ce que je n'imaginais pas et ça prouve qu'en matière de politique on ne s'encombre ni de respect ni de scrupule.
Bonne journée à tous et à très bientôt.
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