Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

 

Les transports briançonnais ne sont pas gérés pour faciliter la

compréhension.

 

Il est vrai qu'entre la transition énergétique et la mobilité il faut subtilement

chercher ce qui se rapporte réellement aux transports urbains, cette

subtilité consistant à économiser avec excès tout en excédant dans les économies.

 

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Pour aller du Champ de Mars à l'hôpital.

 

Avant, on montait au Champ de Mars pour descendre à l'hôpital direction Chantoiseau.

 

Maintenant, je ne sais pas, j'ai attendu le bus dix minutes après son heure de passage puis suis allé à l'hôpital à pieds, je pense que j'ai gagné du temps.

 

Ou je suis un ignare qui n'a rien compris, ou je deviens sénile, ou il y a un problème.

 

Je ne comprends rien dans le fonctionnement de ces nouveaux horaires (En fait je comprends trop bien) et je suis loin d'être le seul, ce qui me rassure sur une éventuelle pathologie sauf si elle s'est brusquement mise à toucher une certaine partie de la population.

 

D'ailleurs, certains chauffeurs non plus n'y comprennent pas grand chose. (Je ne citerai personne)

 

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Correspondances, comme dans le métro.

 

En fait, si je m'en réfère au plan et aux horaires, il faut donc descendre à "Porte d'Embrun" du bus qui va à "Espace Sud", traverser la rue de la Libération et attendre, en face, la correspondance à l'arrêt de bus le plus dangereux de toutes les lignes, non abrité bien entendu.

 

Ensuite prendre un bus de la ligne "2" qui passe par l'hôpital, pas de pot les correspondances sont difficilement compatibles, surtout avec la circulation.

 

Il y a bien la ligne "D" qui passe pas loin de l'hôpital, pour les vieux c'est génial, dans le sens de la descente ça pourrait aller, dans celui de la monté ça devient plus difficile.

 

La ligne "D" passe bien à Châtelet les Halles, là ou il y a la plus grande gare souterraine du monde mais  !!!!!!!

 

Ah non merde, çà c'est à Paris, sujet d'une prochaine page sur "mes boulots".

 

Donc, la ligne "D" de la TUB, nettement plus modeste, passe au Champ de Mars et aux "Acacias", ce qui fait, quand on arrive à avoir un bus de cette ligne assez peu desservie, qu'il faut être jeune et bon marcheur pour se rendre à l'hôpital, il est vrai que les vieux, qui ne sont pas suicidaires sur l'avenue du Professeur Forgues, coutent aussi à la communauté, même si la plupart sont devenus imposables tout en participant, par la retenue à la source, à l'effort social au bénéfice de ceux qui ne branlent rien, donc qui ont la gratuité du transport, qui ne sont pas imposables et qui n'ont pas de retenues à la source.

 

Je constate donc que la municipalité socialiste de Briançon (Même si Mr le Maire à rendu sa carte) fait du social à l'envers mais ça fait fonctionner les taxis, on n'a pas tout perdu.

 

Certains "sans dents" "sans boulot" ont cette particularité de bénéficier de la gratuité (Ce qui, fondamentalement est justifiable) des transports pour pouvoir faire tous les bistrots de la ville mais pas pour chercher du boulot (Principe de la carte "solidarité" de la SNCF), afin de dépenser leurs allocations de fainéants, celle qui est payée par ceux qui payent aussi le transport, pour, en finalité, reprendre ces mêmes transports dans un état second qui importune, par diverses nuisances dont les effluves vinasseuses tabagiques crasseuses (Quand ce ne sont pas des violences verbales), ceux qui payent encore et encore. (Ce n'est pas une généralité, c'est une fréquente constatation)

 

Le social de la chopine est né.

 

Et puis des tas d'autres conneries de ce genre.

 

Avant, mais c'était avant, le transport briançonnais était clair et limpide, depuis le changement des lignes se sont créées, d'autres ont été modifiées, pour la gloire d'une élue qui est en charge de la mobilité afin de créer l'immobilisme dans les arrêts de bus en correspondance, ce qui n'existait pas avant.

 

Et puis, pour se donner de la redondance, on supprime l'expression péjorative "transports" pour la remplacer par "mobilité", c'est aussi çà le changement, que tout le monde comprenne bien.

 

C'est beau le progrès social.

 

Et bien vous savez quoi ?

 

C'est une anecdote briançonnaise absente des médias locaux.

 

A très bientôt, pour autre chose.

 

Bonne galère à tous, mais non, bonne soirée.

 

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