Briançon. Cinq années plus tard

L'immobilisme c'est le courage des irresponsables

5 ans, 4 mois et 14 jours.

C'est le temps écoulé entre ces deux photos.

Ce qui pose question, celle surtout de la lenteur de réaction de certains services quand à la sécurité des administrés.

Il est vrai que la rouille ça ne ronge pas à grande vitesse, ce sont les conséquences qui seront à grande vitesse.

En 2018 c'était la précédente municipalité, aujourd'hui c'en est une autre, on constate simplement que le fonctionnement est identique, du moins concernant la prise en compte de ce qui devrait pourtant alerter les responsables, s'il y en a parce qu'à ce niveau on réalise qu'il n'y a plus de pilote dans l'avion municipal.

Lettre recommandée du 29 04 2023.

S'il faut attendre cinq ans qu'un fait soit pris en compte, encore qu'il faille plutôt faire état de deux décennies, on peut comprendre que le réactif municipal prenne autant de temps.

Je pensais les services administratifs soucieux de rapports élus/administrés conciliants, je constate qu'il n'en est rien, puisque ma lettre recommandée, qui n'est pas la première, comme les précédentes n'a pas reçu de réponse, même pas une simple lettre type qui ferait état de la bonne réception de ce courrier, heureusement qu'il y a le retour par l'accusé réception de ces recommandés. 

Cette impolitesse, caractéristique d'un mépris palpable, ressemble énormément aux réactions négatives de certains membres de la municipalité à ignorer superbement une certaine catégorie d'administrés, ceux qui sont attentifs à la vie de tous les jours pour l'ensemble des briançonnais, puisque ce que j'alerte c'est pour le bien de tous et non pour ma satisfaction personnelle. 

M le Maire des promoteurs, qui lèche un certain ministre d'un niveau douteux, nationalement connu pour ses diverses erreurs et lacunes, n'est pas le maire de la ville de Briançon mais le serviteur d'une politique partisane pourtant en dérive.

Il est vrai que pour arriver il ne faut pas savoir fonctionner mais savoir passer la pommade.

Le manque et l'excès.

Ce qui manque sur des éléments de parement de la ville est en excès en ce qui concerne le retour à la nature.

Là aussi, on remarque le temps qui passe, ce qui fait trépasser le métal et surpasser la nature.

De ces exemples il y en a plein mon blog, l'invasion végétale là où du soin devrait être apporté.

Monsieur le Maire, où passe l'argent public destiné à l'entretien de la ville ?

J'invite les administrés qui serait accidentés, à cause des négligences chroniques municipales, à déposer plainte en ce sens, puisque la municipalité se moque des briançonnais.

Les réfections de ces derniers mois ne sont pas un exploit municipal, comme semble s'en targuent certains élus, ce n'est que du fonctionnement tardif mais pas ciblé là ou il serait attendu.

Dès lors qu'un responsable parade parce qu'il a fait son travail c'est parce que c'est exceptionnel et que l'habitude est justement de ne pas le faire.

Pas très glorieux tout ça.

À suivre.

Bonne journée à tous.

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