Briançon, sur 300 mètres

Publié le par François Ihuel

 

Spectacle de rue, mais au sol

 

Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres
Briançon, sur 300 mètres

Spectacle, mais au sol.

Il est vrai que les briançonnais sont habitués, d'ailleurs le jour où ce sera réparé ils seront surpris.

Ça c'est juste sur quelques centaines de mètres, ailleurs on a la même chose mais tout photographier serait fastidieux et de toute façon inutile, puisque le maire de la ville, M Murgia, s'en moque totalement.

J'avais demandé des factures, il y a maintenant cinq mois, en lettre recommandée avec accusé de réception, sans réponse comme d'habitude, les responsables n'ont pas vocation à s'occuper des administrés, ça ne rapporte rien.

M le maire de Briançon se fout de la gueule du monde, il laisse la ville se dégrader pour orienter les finances publiques vers du constructif à la gloire des investisseurs, il est vrai aussi que quelques enveloppes ça aide un peu, c'est une supposition mais ça peut vite devenir une certitude, je m'en occupe. 

Quelques contacts briançonnais m'ont informé de leur opinion sur le requin que serait M le maire, ça je le sais déjà mais il est délicat d'en faire état publiquement, beaucoup sont des "notables" locaux et des commerçants qui dépendent entièrement du bon vouloir de cet individu qui se prend pour Jupiter en méprisant ceux qui l'ont élu.

Bien entendu, moi, avec ma grande gueule je l'écris, parce que le murmurer en sourdine ça fait faux-cul, mais je comprends la prudente retenue de ceux qui le verraient bien ailleurs. 

Donc on peint des pignons d'immeubles, avec l'argent public, mais on laisse la ville en dérive, puisque quand un magistrat local fait le contraire de ce qu'impose son mandat c'est du détournement de fonds publics.

J'espère que ce Monsieur va enfin déposer une plainte à mon encontre pour diffamation, je n'attends que ça.

Où alors, à travers ses connaissances directes, il pourrait me nuire par d'autres expédients, en politique c'est très courant, alors j'attends.

En attendant un miracle vous avez le loisir de continuer à galérer dans cette ville qui se veut touristique mais qui n'est plus que l'ombre de ce qu'elle a été.

Il faut aussi constater les réflexions des touristes, les habitués, qui voient d'année en année se dégrader cette ville qui fut de haute montagne, et puis les autres, le passage, comme on dit, surtout rackettés par des tarifs prohibitifs pour des prestations douteuses, ne pouvant pas bouger sans mettre la main au porte-feuilles, ne pas s'étonner des défections.

Alors 600 lits chauds en plus, qui risquent de rester froids, ça me fait marrer deux minutes, surtout constatant le déclin touristique, et puis accueillir du monde dans une ville devenue désert médical ça fait désordre.

Sauf que le maire, requin de service au service de la finance, se moque tout autant des touristes que des briançonnais.

Bonne journée à tous.

 

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Publié dans Briançon et société

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