Quand on adule ce qui nous nuit

Publié le par François Ihuel

 

La reconnaissance du désordre ?

(Image de présentation Médiapart",

 

 

Quand on adule ce qui nous nuit

Où sont les limites ?

On a du mal à croire qu'un ancien maire, responsable de la dégradation de la ville, responsable de la dette pharaonique de la ville, dette toujours en cours 30 ans après, qui va encore perdurer une vingtaine d'années parce qu'à chaque changement de "régime" elle est réactualisée, donc remise en cause avec des intérêts supplémentaires, maire qui a fait détruire des vestiges romains pour y construire des HLM, qui a fait raser les casernes de la vieille ville pour la même raison, puisse aujourd'hui être adulé par un autre maire qui plus est de bord politique opposé.

J'ignore quelles complaisances ont amené à cette dérive mais je me demande si ce monde tourne normalement.

Quand on récompense ceux qui nous ont nuit c'est que que quelque part il y a anguille sous roche.

Les élus de maintenant, qui ne sont en place que par des récupérations diverses, élus par défaut ils se sentent investis d'un pouvoir supérieur sur les administrés dont une bonne partie est écartée.

Tous est pourri, le pire c'est qu'il y a des adulateurs.

D'ailleurs en France on a encore mieux, un président, élu lui aussi par défaut, demande aux "islamistes" les voix pour se faire élire, lien ci-dessous.

https://www.youtube.com/watch?v=GAlvlVwJGck

Les populations, qui croient aux rêves de ceux qui nous trompent, seront les premières victimes de ces machinations, après-demain il va falloir qu'on fasse savoir que l'ignominie à ses limites.

Pas à ceux qui n'iront que pour l'apéro, mais à ceux qui savent comment la ville s'est auto-détruite à cause de ses élus.

Bonne journée à tous.

 

 Pour me rejoindre, continuer à me suivre et partager ce blog,  inscrivez-vous à la rubrique "s'abonner" Newsletter— du bandeau droit de cette page

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article