Matraquage, désinformations, propagations

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

 

Les excès d'informations détruisent l'information.

Les scoop volontairement marquants servent des causes.

 

Matraquage, désinformations, propagations

Désinformation.

Effets élections.

Depuis deux semaines il y a des annonces, sur les réseaux sociaux, faisant état de rumeurs sur le déneigement à Briançon.

Étrangement je trouve que cette année c'est mieux traité que les années précédentes, effets élections donc.

Pourtant il y a des rumeurs qui propagent des informations contraires, soit ça émane de gens qui ne sont pas déneigés en premier parce qu'ils sont dans des secteurs de non-urgence, soit c'est exploité par des sympathisants des divers candidats pour le moment déclarés.

Si je suis assez rigide concernant certaines dispositions anormales dans cette ville je n'en suis pas moins conscient que les efforts des divers services de la ville sont évidents.

Cette désinformation est de nature à monter les gens les uns contre les autres, comme de faire en sorte que les électeurs indécis fassent le choix d'un candidat plutôt que d'un autre sur des critères de peu d'importance, c'est la stratégie des campagnes électorales.

La municipalité semble avoir tiré les leçons des problèmes neigeux de Décembre 2017.

 

Matraquage, désinformations, propagations
Matraquage, désinformations, propagations

Matraquages.

Le lien est palpable.

Sur les réseaux sociaux toujours, soit des partages qui sont "travaillés, soit des infos officieuses de médias bien en vue.

400 immigrés supplémentaires ça ne va même pas se voir sur le million qui est déjà sur notre sol mais c'est effectivement déplorable quand on serre la ceinture des uns pour desserrer celles d'autres afin qu'ils se repaissent.

Ce qui est captivant ce sont les commentaires, pour certains c'est du délire mais chacun interprète l'info selon sa position sociale et surtout fonction de son appartenance politique. 

Les rassemblements de rue par des provocateurs, à ce niveau ce n'est que de la provocation sachant que dans les pays musulmans ces réunions à ciel ouvert sont interdites et les interdits respectés.

Il n'y a d'ailleurs qu'en France que les interdits sont tolérés, cette forme de mansuétude complice à un objectif, continuer à diviser les gens afin qu'ils ne s'unissent pas, c'est vieux comme le monde comme stratégie mais ça fonctionne toujours.

Alors on fait du matraquage médiatique sur des sujets bien précis afin, non pas que les autorités y mettent fin, mais pour propager nationalement ce qui ne resterait que confiné à des endroits clairsemés et de façon ponctuelle.

 

Matraquage, désinformations, propagations

Propagation.

Pour faire des émules la meilleure façon de propager un fait marquant ce sont les réseaux sociaux, le plus accessible c'est Facebook parce que le plus partagé, mais sur Twitter ce n'est pas mal non plus. 

S'il m'arrive de partager des conneries, comme tous ceux qui se font avoir par des artifices subtils et paraissant sérieux, je fais un énorme tri avant de partager une "info" Internet.

Pas plus tard que ce matin je vois cette photo et le commentaire qui accompagne.

Les terroristes de tout acabit, parce que le terrorisme ce ne sont pas seulement ceux qui agressent dans la rue, ont besoin que leurs préceptes et leurs exactions soient connus le plus possible, ils savent très bien se servir de l'outil informatique pour ce faire et la meilleures façon de propager l'appel à l'acte ce sont les réseaux sociaux.

Ils savent très bien aussi que peu de "fanatiques" passeront à l'acte parce que l'acte est disproportionné et abominable, mais ils savent aussi que sur les réseaux sociaux il y a des visiteurs dérangés qui n'ont pas le discernement des actes influés et, de ce fait et sous l'effet de la drogue, passeront à l'acte de façon isolée, mais comme c'est médiatiquement largement propagé la récupération se fera sur ces bases, ça suffit pour influer la peur et inciter les cinglés à tuer gratuitement au nom d'une doctrine religieuse. 

Plus on partagera ces conneries et plus il y aura d'actes criminels en ce sens. 

Je répond donc à mes "amis" - que je préfère appeler "contacts Facebook" - que je ne partage pas ce que je devine vouloir être largement diffusé qui met en danger la vie des autres.

Mon blog ce n'est pas un journal, il n'est que le défouloir de mes états d'âme et peu de monde le visite, quelques milliers de personnes seulement, le risque de propagation est quasi nul.

Je n'intéresse pas beaucoup de monde et c'est aussi bien comme ça.

 

Matraquage, désinformations, propagations

Désinformation.

Semer le doute.

Depuis des mois la police est la cible des critiques, il serait bon de préciser que les forces de l'ordre ont pour travail de garantir la tranquillité et la sécurité des citoyens, même s'il y a quelques exceptions qui dérapent la quasi totalité des forces engagées sont efficaces.

Que faire devant une attaque ? Quand on lit les infos - ou qu'on les regarde - c'est dans un contexte sécuritaire reposant, pas sur le terrain comme le sont confrontés ceux qui nous protègent, l'analyse d'une situation est difficile, voire impossible dans ces conditions.

Là encore intervient la particularité de la société, fonction de la place qu'occupe un individu le jugement ne sera pas le même, en y ajoutant les préférences politiques et les rancœurs personnelles on arrive à avoir des infos tronquées, des commentaires délirants et des réactions dangereuses. 

Un déséquilibré qui agresse doit être maitrisé, s'il est dangereux pour l'entourage au moment des fait il doit être neutralisé, c'est le travail de la Police, de la Gendarmerie et des CRS, ceux qui s'insurgent des méthodes employées devraient y réfléchir à deux fois, s'ils se trouvaient confrontés directement à un agresseur dangereux, armé et n'étant plus en possession de ses facultés, ils béniraient l'intervention des forces de l'ordre, c'est tellement facile de cracher dans la soupe quand on n'est pas dans le contexte.

 

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Propagation.

Comme dans un article plus avant écrit pour pouvoir mettre le feu aux églises ou autres édifices il faut trouver des volontaires pour ce faire, quoi de mieux que d'influer sur des esprits faibles et embrigadés en passant par les réseaux sociaux.

En fait, de diffuser ces exactions c'est une mauvaise méthode, déjà le commun n'y peut rien, sauf créer des milices de défense locales, par contre ceux qui sont déséquilibrés vont avoir matière à agir, là aussi leurs partages sont efficaces sur les réseaux sociaux. 

 

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Diviser.

Dans la société plus les gens sont divisés et plus on les contrôle, ce n'est pas spécifique à nos dirigeants, les syndicats savent faire aussi. 

Du moins certains syndicats.

Les pressions sur les non-grévistes je connais, j'ai fait des grèves, celles que j'estimais justifiées, quand il y a un dialogue et des avancées on arrête la grève pour analyser ce qu'il en est sorti, le jusqu'auboutisme est contraire à une action quand ça va trop loin. 

J'ai aussi refusé de faire certaines grèves, celles qui ne justifient pas d'emmerder des centaines de milliers de clients pour une revendication douteuse et particularisée ; effectivement certains "mordus" syndicaux sont particulièrement agressifs, pour satisfaire une action ils emploient des méthodes qui sortent de l'embrigadement, les menaces physiques, voire sur la famille, j'ai connu, je doute fort que d'obliger quelqu'un a participer à ce dont il ne croit pas serve la cause qu'on lui impose. 

Un une fois m'a dit, à Torcy sur le RER "A", que je n'avais pas d'amour propre à ne pas les suivre dans un défilé de revendication entre Nation et Bastille, je lui ai dit que je ne nourrissais pas mes gosses avec de l'amour propre, et puis je fuis les mouvements de foule parce que ça dérape toujours ; bien entendu ça ne lui a pas plu, cette grève de 1995 a déjà fait beaucoup de dégâts, les avancées en matière de recul du gouvernement, à l'époque, étaient assez significatives pour cesser le mouvement, là d'autres voulaient plus, toujours plus, surtout ce qui est impossible, il m'a attrapé par le col pour me faire ma fête, pas de pot c'est lui qui en a pris une et ça s'est retrouvé devant le conseil de discipline de la RATP, sans suite d'ailleurs.

Les agités syndicaux hyper remontés il y en a peu mais ils sont presque dangereux. 

Alors tous les mots doux "fils de pute, enculé, salope, etc.." j'ai l'habitude, l'insulte c'est la force du faible.

La division des gens ça sert aussi les syndicats qui exploitent ces divisions.

 

Matraquage, désinformations, propagations
Matraquage, désinformations, propagations

Vrai ou faux ?

Les "fake-news" comme le disent ceux qui veulent paraitre sans être par anglicisation des termes, les réseaux sociaux en débordent, à tel point qu'on ne sait plus ce qui est réel ou pas et c'est là le but.

Que ce soit propagé par des médias sérieux ne change pas grand chose, comme les scoops épidermiques qui propagent des conneries, ça c'est du matraquage de désinformations.

Maintenant il est fort possible que ces infos soient réelles, comment le vérifier !

 

Matraquage, désinformations, propagations

Désinformation.

La FNSEA, qui veut dire Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles, c'est aussi un syndicat des syndicats.

Donc on défend les agriculteurs - pas tous, juste les adhérents comme dans tous les syndicats - en se défaussant sur un prédateurs servi sur un plateau.

Je me demande seulement comment depuis des centaines de milliers d'années il peut y avoir encore des oiseaux vivants avec le massacre que semble opérer les chats, surtout depuis que les produits chimiques inondent et saturent les champs. 

Ce ne serait donc pas l'homme et ses dérives qui sont dangereux pour les oiseaux, ce sont les chats.

Alors on fait quoi ! 

On massacre les chats ?

On nous prend vraiment pour des débiles. 

Les chasseurs en nombre conséquent semblent ne pas s'arrêter à ce genre d'argument, surtout quand on tue pour le plaisir, ce que ne font pas les chats ni aucun autre animal, en dehors de l'homme. 

Bonne journée à tous et à bientôt pour autre chose. 

 

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