Ma petite revue de presse 28 03 2024

Publié le par François Ihuel

 

Constats

 

Ma petite revue de presse 28 03 2024
Ma petite revue de presse 28 03 2024
Ma petite revue de presse 28 03 2024
Ma petite revue de presse 28 03 2024
Ma petite revue de presse 28 03 2024

J'ai travaillé en imprimerie.

Oui, je sais, les critiques vont avancer que j'ai exercé beaucoup de métiers, en fait, ayant eu 73 employeurs depuis 1966, j'ai une vue générale sur diverses corporations, c'est dans mes livres "Onze métiers — Cent galères" tomes 1 à 6, le 7ème est à l'écriture.

Aussi, et dans le désordre, de monteur électricien à chef de cuisine, en passant par le spectacle hard à Pigalle, la marine, la SNCF - locomotives vapeur et électriques, la RATP - métro et RER, puis chauffeur routier, chauffeur de bus et de cars, plongeur en saison, employé municipal à Ris-Orangis, manutentionnaire, employé d'abattoir, tripier, magasinier, dépanneur épisodique de téléviseurs (1966/1974), monteur électricien en laboratoire d'essais THT, livreur dans Paris, employé de bureau aux ASSÉDICS, convoyeur, employé de garage, pompiste, livreur de bouteilles de gaz sur semi-remorque, etc., dans presque toutes les régions de France, j'ai un parcours qui interroge, toutefois ça m'a permis une grande ouverture d'esprit et une connaissance poussée des différents modes sociaux des régions de France.

Donc, durant ce passage en imprimerie, Crété à Corbeil Essonne, j'ai pu apprendre grossièrement ce qui concerne ce corps de métier, sans être un spécialiste j'ai retenu l'essentiel. 

Ça ne fait pas de moi un surhomme ni un érudit dans ces domaines divers, juste un instable qui se cherche, mais mon enfance chaotique en est certainement en partie responsable (Voir mon livre "Onze métiers — Cent galères" tomes 1.)

Toutefois ce que j'en ai retenu me permet de considérer certaines phases de la vie actuelle, donc dans des domaines de corps de métier que je connais.

Alors quand je constate des défauts d'impression de journaux ça m'interpelle, bien que je sache que le papier coute cher, que de supprimer plusieurs milliers d'exemplaires "ratés" a aussi un cout, il devient difficile d'apprécier un travail si ce dernier ne donne que ce piètre résultat.

Des images floues de manque de correction de rotatives c'est ce qui arrive souvent, surtout au moment de changement de bobines, ou de déchirures sur la rotative, ("Onze métiers — Cent galères" tomes 3 & 4), je comprends que le conducteur offset dusse être très vigilant, pour ça il y a des repères, ces petits inserts en bas de page qui lui permettent de régler la machine afin que les points de couleur soient dans le même cadre tout comme la croix doit être centrée.

Ce n'est pas une critique, juste que pour le lecteur ça interroge.

 

Dauphiné Libéré du 26 mars 2024

Dauphiné Libéré du 26 mars 2024

Briançon et ses pro-migrants.

J'abonde dans le sens du maire de la ville du fait qu'on ne peut continuellement étaler une propagande qui crée des tensions, mais c'est une volonté délibérée de faire de la provocation.

Les pro-migrants qui avancent que des victimes l'ont été sur le territoire de la commune, presque à en faire reproche aux autorités, oublient que ce sont eux qui les ont amené sur ce dit territoire, ils sont donc entièrement responsables de ceux qu'ils utilisent à des fins de propagande mais aussi de subventions, puisque plus il y a des migrants importés et plus les subventions, dont une part de l'État, donc nos impôts, sont importantes, très certainement l'objectif principal de ces associations.

Ce sont donc ces dites associations qui sont les premières responsables des victimes importées par des chemins dangereux et dans des conditions météorologiques extrême, mais ça aussi c'est voulu pour cibler une condition pourtant imposée aux dits migrants, juste convoquer la presse locale afin d'en faire des victimes.

Victimes ils le sont, mais par ceux qui les utilisent, donc les associations en premier lieu.

Si on commence à construire un "mausolée" à chaque victime de la traite d'humain on n'a pas fini d'en voir à chaque coin de rue.

 

Ma petite revue de presse 28 03 2024

Gabriel Attal.

Qui, dans ses remarques à l'Assemblée Nationale, parmis d'autres, fait état d'une conjoncture économique difficile du fait que la crise de l'emploi en serait en partie responsable, ce qui est un paradoxe, puisque le déficit des finances publiques tient, d'une part d'un manque de recettes du travail, d'autre part aussi des dépenses pharaoniques en faveur de l'assistanat massif et pas vraiment justifié dans son intégralité.

En réduisant les "salaires" d'assisté à tous ceux qui ne veulent pas travailler on fait une pierre deux coups, on réduit les dépenses d'assistanat et on augmente le nombre de salariés, la balance penchera enfin du bon côté.

Pas besoin d'avoir fait de hautes études pour en déduire d'une si basique logique. 

 

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Ceux qui exploitent l'argent public.

Ce passage, tronqué par mes soins parce que trop volumineux pour ma page, répond en partie aux gabegies financières non indispensables, il est connu que pour que des escrocs s'enrichissent facilement il ne suffit que d'exploiter les failles institutionnelles pour en tirer larges profits personnels.

D'ailleurs, il y a quelques années, je donnais à une association "Le Refuge", à Montpelier, pour les aider à accueillir les jeunes homosexuels chassés par leur famille, depuis qu'il y a cinq directeurs largement payés, dont quatre absolument inutiles, je ne donne plus, aider ceux qui en ont besoin d'accord, financer des requins qui s'enrichissent sur la charité c'est absolument inconcevable, c'est le gros problème associatif en France.

Là aussi l'argent public est dilapidé par l'État en faveur d'escrocs, c'est totalement inadmissible et je suis interrogateur que, tout le monde politique connaissant ces pratiques, il n'y ait pas encore eu de dissolution de ces associations véreuses et inutiles puisque les supposés bénéficiaires sont laissés pour compte.

D'ailleurs aucune association de pro-migrant nous révèle ce que deviennent les migrants une fois relâchés dans la nature, beaucoup survivent d'argent public mais d'autres sont exploités par des employeurs sans scrupule, payés au ras des pâquerettes et logés dans des conditions souvent insalubres, en fait ils ont été importés pour subir ce qu'il ne subissaient pas dans leur pays d'origine.

Cette politique faux-cul c'est un coût énorme pour les finances françaises.

C'est tout pour aujourd'hui.

En ce qui concerne des finances plus proches de nous j'ai demandé un RDV à M le Maire de Briançon, ce afin d'éclaircir ce qui m'achoppe.

Bonne journée à tous. 

 

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