A prendre ou à laisser. Briançon 2ème jour

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DSCN8156.JPGMorsbronn Les Bains. 

Alsace, moins 7°.

 100 9346Le Montbrison. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Vu de la Zone d'Activité Sud le 3 décembre 2012.

100 9347Les Toulousanes. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Quartier HLM des années soixante et demandant un urgent remplacement.

Beaucoup d'appartements n'ont pas encore de double vitrage comme une grosse partie de l'immobilier ancien de Briançon.

Pas de panique, la municipalité n'y est pour rien. 

Le parc locatif de Briançon est réparti entre le secteur public (OPAC OPH etc.) et le secteur privé.

Ce dernier est, de loin, le plus important, il est géré par plusieurs agences et je conseille vivement aux potentiels intéressés de faire jouer la concurrence, certaines agences ont des critères draconiens à la limite de la surveillance du locataire.

Le secteur privé rassemble des propriétaires qui louent directement sans passer par les agences, ces dernières prennent des frais qui pourraient paraître excessifs mais sont une garantie de suivi et de recours.

Ce qui n'est pas le cas des locations "directes".

J'ai suffisamment essayé diverses formules à Briançon pour en savoir quelque chose.

Beaucoup d'immobilier privé non agencé est hors norme, ne faisant l'objet que de rafistolages urgents et en majorité démuni de double vitrage.

Ce sont souvent des maisons ou petites "HLM" venant d'héritages, nécessitant des travaux de mise aux norme qui coûtent une fortune aux propriétaires.

Raison majeure du mauvais état d'une bonne partie de ce parc locatif privé non agencé.

Certaine locations sont mêmes franchement insalubres et il est vivement conseillé de se renseigner avant de louer, ne serait-ce qu'auprès des locataires précédents, c'est parfois édifiant.

100 9352Le choix est d'abord visuel. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Il est flagrant qu'entre ces deux immeubles l'un semble presque totalement délaissé et l'autre fait l'objet de soins attentifs.

C'est au Champ de mars entre le garage Ferraro et le restaurant La Vigne.

Ce n'est pas spécialement représentatif, je ne connais pas les propriétaires je sais seulement que c'est locatif.

Ayant eu l'occasion, pour des besoins électoraux, de me rendre dans la plupart des habitats de Briançon je me suis fait une idée de ce qui est bien, moins bien, tout juste acceptable et à écarter.

100 9354Route d'Italie. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

La majorité des locations sont bien, certaines parfaites.

Plus loin, vers la sortie de la ville, c'est nettement moins bien et habiter dans certains relève de l'exploit ou de "pas le choix".

Une bonne partie est gérée par des agences, ce qui explique les travaux d'entretien et de remise aux normes.

Certaines habitations ne sont pas équipées de double vitrage, sont très proches de la route, très fréquentée, et ne disposent de système de chauffage qu'électrique hormis ce que le locataire apporte. (Poêle à bois, à pétrole ou au gaz)

Les petits immeubles "privés" comptent, pour la majorité, le chauffage inclus dans le loyer mais se renseigner aussi sur les périodes de chauffage et sur les restrictions qu'engendrent des économies devenues nécessaires par les temps qui courent.

Dans la grande majorité des locations privées non agencées le loyer est prohibitif au regard des prestations, obtenir des travaux relève souvent du parcours du combattant.

Savoir aussi prendre la mesure d'une visite d'appartement l'été et le même l'hiver, ce qui pourrait passer inaperçu en été se fait cruellement ressentir l'hiver.

Il est important d'attacher de l'importance sur l'isolation et le chauffage, s'il est courant d'avoir des températures avoisinant les trente degrés en plein soleil de Juillet il est aussi courant d'avoir moins vingt au même endroit en plein coeur de février, c'est là que se fait toute la différence.

Un loyer attractif en été peut être, pour la même somme, dissuasif en hiver.

Ne pas oublier que la Lombarde souffle fort sur le Champ de Mars et que ce n'est pas un vent chaud, le vent est le pire ennemie de l'isolation négligée.

100 9360Les locations en vieille ville. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Ne sont pas, contrairement aux idées reçues, les plus mal servies.

Ça dépend surtout du secteur.

La restructuration de l'habitat imposée en 1995 par la municipalité d'alors visait essentiellement les façades des immeubles, il reste encore quelques "furoncles" mais dans l'ensemble l'aspect général est correct.

Les toitures, aussi, ont fait l'objet d'obligations suite aux accidents corporels, nombreux à une certaine époque, dues aux chutes de neige des toits.

La vieille ville est majoritairement italienne, ces derniers ont beaucoup investi dans de grands travaux et il y a énormément de petits appartements sympas en excellent état locatif.

Cependant certains immeubles sont dans un bien triste état, les problèmes générés par les héritages "empoisonnés" font que les querelles de copropriété s'opposent à toutes interventions, même les "syndics" s'y cassent le nez.

Il faut savoir qu'un héritage c'est une période de contestation qui peut durer 90 ans, soit trois générations en moyenne, ce qui fait que des bâtiments sont presque totalement abandonnés.

Il y en a pas mal à vendre dans cette vieille ville, le problème majeur de ces rues touristiques c'est de ne pas profiter du soleil sur une durée suffisante pour réchauffer un appartement, l'axe principal de la ville étant Nord Sud.

Chauffer sept à huit mois en vieille ville n'est pas exceptionnel.

Maintenant ce n'est pas l'ensemble de la vieille ville, la rue du Temple détenant certainement la palme puisque celle la moins bénéficiaire du soleil.

Cette rue nauséabonde l'été, autrefois commerçante, est vouée à un certain abandon, son attrait n'est pas engageant, il y fait froid et humide certainement plus que partout ailleurs.

L'humidité et les mauvaises odeurs (Refoulements d'égout) sont les pires des maux de cette vieille ville.

100 9361Vers l'Est. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

En montant devant le Grand Colombier pour atteindre les chemins de ronde.

Récemment rénovée, ce passage est maintenant plus adapté à l'intense circulation de cette vieille ville. (Tout est relatif, par intense j'entends à l'échelle de la ville et non en référence à un secteur animé)

Les murets ont été refait et consolidés, le revêtement a été ragréé. (J'en ai assez fait état dans mes pages sur ces deux dernières années)

Plus au-dessus, un secteur immobilier récent, la municipalité de gauche des années 1983/1991  a fait raser les "casernes" pourtant classées aux monuments historiques, pour construire des ensembles HLM.

Il est vrai que c'était en très mauvais état.

Bien ? Mal ? Ce n'est pas à moi d'en juger, il est certain que le principe politique tendanciel de l'époque allait dans le sens de loger le plus de potentiels habitants mais le secteur choisi fut-il judicieux ?

Cette vieille ville est le casse-tête de toutes les municipalités qui se sont succédées depuis des décennies, englober patrimoine et habitat est difficilement conciliable dans l'état actuel du statut de cette vieille ville.

D'un côté préserver ses habitants (Communément appelés les gargouillards) de l'autre rendre touristique un monument historique classé depuis 2009 à l'UNESCO.

C'est pratiquement insoluble, les riverains devant vivre en concordance avec l'ensemble de la population briançonnaise tout en subissant les inconvénients d'un site hautement touristique et patrimonial.

De l'autre les obligations municipales de tenir un cahier des charges qu'impose le classement à l'UNESCO.

Rien n'est simple et si je suis assez critique sur la mauvaise gestion de l'ensemble de la ville (Réflexion personnelle) je reconnais que ce fardeau est pratiquement ingérable.

100 9362La rue de Castres. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Qui allie constructions récentes et anciennes.

La majorité des habitats de cette rue a fait l'objet d'importants travaux de rénovation, bien que difficile d'accès et de stationnement ce quartier est agréable à vivre.

Un des problèmes de gestion de l'habitat en ville classée et moyenâgeuse c'est le stationnement pour les riverains, plus d'une municipalité s'y est cassé les dents.

L'essor de la population dans cette vieille ville n'a pas contribué à arranger les choses, tout le monde voudrait bien avoir sa voiture "sous sa fenêtre" mais en même temps l'attrait touristique de la ville se dégrade pour cette raison.

Que faire ?

Soit prendre des dispositions impopulaires mais préservant le cachet médiéval et patrimonial de la ville soit laisser aller en sacrifiant les ressources touristiques qui font vivre cette même vieille ville.

Si le problème avait été pensé dès le commencement de l'essor automobile dans cette cité Vauban, nous n'en serions pas là.

Si les autorités, au lieu de défaire ce qu'a fait la précédente municipalité, quelle qu'elle soit, pour des raisons d'éthique, se concertaient plus largement avec tous les intéressés il y aurait peut-être plus de compréhensions de part et d'autre.

Maintenant, je sais par expérience, également pour des raisons d'éthique que les réunions en ce sens n'aboutissent à rien, ça tourne vite à la cacophonie, éloignement du sujet et particularisme impossible à résoudre, les vieilles rancoeurs ressurgissent.

100 9365Rue Haute de castres. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Dans l'ensemble en bon état sauf quelques immeubles totalement délaissés pour les raisons citées plus avant.

Un secteur privilégié qui profite du soleil une grande partie de la journée.

Les locations disponibles y sont rares.

C'est, avec la rue de la Manutention plus au-dessous, un quartier agréable à vivre, les problèmes majeurs restant ceux du stationnement et d'accès, surtout en période de fortes chutes de neige.

Là aussi je reconnais que les ST font un maximum sachant que ce n'est pas un secteur prioritaire, quand il en tombe 80 cm dans la nuit c'est sur toute la ville, les ordres de priorité doivent être respectés ce que ne réalisent pas toujours certains riverains excédés, parfois, de ne rien voir durant quelque fois plusieurs jours.

Maintenant un renfort de personnel, dans ces cas-là, est prévu mais il n'a pas eu le succès escompté.

Mais c'est peu fréquent, l'hiver 2008/2009 fut particulièrement éprouvant pour tout le monde, les chutes abondantes et fréquentes de neige mobilisant la totalité des services sur "l'indispensable" durant une bonne partie de l'hiver. (Première chute le 23 octobre 2008 (60 cm) dernière le 7 mai 2009 (25 cm), 6,30 mètres cumulé sur ce seul hiver)

La vieille ville a un attrait indéniable mais beaucoup de nouveaux arrivants ne calculent pas les inconvénients de ces particularités ci-avant citées.

100 9366Rue Haute de Castres. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Le bas, avant d'arriver porte Durance trop peu connue.

100 9369Que voici. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Malheureux que, ou qu'on aille, si loin que ce fut, pour avoir une vue du patrimoine, il y ait continuellement un ou plusieurs véhicules pour polluer l'image.

L'entretien de cette ville est, comme écrit plus avant, un casse-tête, l'assainissement est en partie à refaire entièrement ainsi que d'autres réseaux de distribution.

Les coûts sont très élevés en raison de la géographie des lieux et la spécificité du matériel acceptable par ces rues et ruelles étriquées.

Tout doit se faire avec des véhicules pas trop gros, durant des périodes bien précises, éviter les deux mois d'été, touristiques, et impossible en hiver quand la température descend à moins dix moins quinze avec de la glace un peu partout.

C'est certainement la raison majeure de l'abandon apparent de cette vieille ville, il y a d'autres raisons d'ordre financier mais j'en ai déjà tellement fait état que je ne vais pas y revenir, la dette de la ville et la gestion.

Comme l'a dit en son temps Mme Daerden, Briançon n'est qu'une petite ville, rien de comparable avec les villes hautement touristiques par les sports d'hiver, Les Ménuires, les Arcs, etc. etc. 

C'est aussi valable pour l'habitat.

Briançon est une ville enclavée, perché entre 1200 et plus de 1300 mètres d'altitude desservie par des routes difficilement modifiable sans de gigantesques travaux certainement inutiles puisque l'essor de Briançon est restreint par son manque d'industrie.

Son éloignement des points stratégiques, Gap, Grenoble, Turin et les difficultés d'accès, compliquées par le climat hivernal, ne peut guère aller plus loin que le tourisme et le patrimoine historique.

Sa position géographique, presque au fond d'un cul de sac formé par les Ecrins, ne la favorise pas pour un essor économique industriel rentable.

Il faut bien se rendre à l'évidence et persévérer dans un contexte montagnard à faire évoluer en misant principalement sur le tourisme et le patrimoine en plus d'un environnement privilégié.

Essayer d'installer de grosses industries à Briançon est une gageure.

Ça ne veut pas dire qu'il faut végéter dans l'immobilisme, rendre la ville plus accueillante et plus aérée est l'atout principal d'avenir mais sans projet pharaonique qui coulent les finances de toutes les villes qui s'y risquent ; En faire une cité dortoir est une lourde erreur.

Faire contribuer la population dans cet objectif est une voie d'avenir prioritaire, les briançonnais, privé de main-d'oeuvre abondante sont les acteurs de leur environnement et de leur patrimoine. (Dans contribution je ne vise pas les impôts, la question vient de m'être posée, mais une participation personnelle par du bénévolat ou autres formes de soutien)

C'est dans ce sens qu'il faut travailler pour garder des jeunes à Briançon qui, à leur tour, gèreront cette ville.

Pour cela il leur faut un habitat adapté ne leur "ponctionnant" pas la plus grande partie de leur salaire et ne faisant pas l'objet de spéculations d'impositions qui ruinent les finances de la ville, l'impôt n'étant pas la solution miracle pour renflouer des caisses très malades.

S'il faut partir parce que la vie est trop chère et le climat "relationnel" malsain c'est un échec pour les instances dirigeantes, quelle qu'en soit l'obédience.

100 9384Rue du Pont d'Asfeld. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Si elle n'était pas plus ensoleillée elle ferait le pendant à la rue du Temple.

Sur une courte partie, environ cent mètres, cette rue est un désastre d'abandon.

Pas seulement de la municipalité mais aussi des propriétaires des immeubles qui font face à deux monuments historiques dont un a récemment fait l'objet d'une vente (Encore) et de rénovation en profondeur.

Ou plutôt de restructuration puisque ce couvent des Récollets est devenue une HLM.

Qui ne sera guère prisé, l'emplacement n'est pas favorable, éloigné de toutes les portes accessibles de la ville il interdit également tout stationnement.

Les immeubles particuliers, sont eux aussi délaissé par les potentiels locataires ou acheteurs, non que leur état "délabré" en soit le responsable, c'est surtout l'évolution qui fait que ces habitats d'antan n'ont plus le même usage qu'auparavant, habiter un patrimoine n'est pas forcément signe de bien-être et de bien vivre.

Les nouvelles habitudes de vie ont complètement transformé les mentalités et si on n'a pas sa voiture en sortant de son lit on boude l'habitat. Et oui, on en est là.

100 9385Rue du Pont d'Asfeld. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Etriquée, malodorante, très peu ensoleillée, elle convenait parfaitement à un peuple habitué aux vicissitudes d'une époque révolue mais certainement pas à une population trépidante et aux besoins de confort incessants.

Qui plus est, les bâtiments lépreux et biscornus ne sont pas engageant.

Par-contre c'est un lieu rêvé pour mettre en avant un patrimoine déjà bien mis à mal.

La rénovation du couvent transformé n'a pas suffi à égayer cette rue, qui plus est, elle ne mène nulle part autre que la porte Durance, accès au Pont d'Asfeld et au fort des Trois Têtes.

Seul, à chaque bout, deux restaurants réputés dans la région permettent de lui laisser l'avantage d'un passage utile.

"Le Passage" côté Nord et "Le Rustique" côté sud.

C'est la continuité de la rue Porte Méane que coupe la Grande gargouille.

100 9386Le Passage. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Restaurant de bonne tenue, entre les deux escaliers, très bonne cuisine et un chef qui invente des sauces à faire revenir.

Le coin est sympa si ce n'était ces ruines d'un petit immeuble victime d'un incendie et en l'état depuis bien longtemps, toujours les mêmes problèmes d'assurance et de litiges.

Ces tôles sur un édifice diminué ne font rien pour l'image du patrimoine.

100 9383Le Rustique. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Autre très bon restaurant qui a l'avantage d'être situé sur un emplacement offrant un paysage exceptionnel, en terrasse l'été c'est un plaisir qui fait rester à table.

Plus avant, à droite, l'ancien édifice religieux des Pénitents Noirs, il a brulé, la presque totalité du bâtiment est effondré et de vouloir le restaurer sera un suicide financier.

Seul le clocher devrait être remis en état et conservé en qualité de monument historique. (Un peu comme la Tour Saint-Jacques à Paris 1er, entre l'Hôtel-de-Ville et le Chatelet dans la rue de Rivoli, en plus grand quand-même) 

100 9387Partie basse de la Grande gargouille. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Là où le patrimoine est le mieux entretenu.

100 9390Partie haute de la Grande gargouille. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Au fond, le Grand Colombier.

Les magasins de proximité restant, une épicerie à l'ancienne, un tabac et une mercerie à l'ancienne également, sont à gauche sur cette photo.

Presque tous les autres commerces sont dédiés aux souvenirs et spécialités de la région.

Entièrement rénovée de 1995 à 1997, hors mis deux trois bricoles, cette rue est restée en très bon état.

Habiter la Grande Rue (Ou Grande gargouille) est très recherché, sa position géographique de principale artère de la ville est la plus prisée des touristes.

C'est là qu'est concentré la presque totalité des commerces de cette vieille ville.

Du moins ce qui reste comme commerce, la tendance de ces dernières années influe sur les souvenirs et autres spécialités du pays et de la région hormis les restaurants que j'estime trop nombreux.

Voir mes pages Nos commerces dans la vieille ville. II  et Nos commerces dans la vieille ville. I  dans le blog http://francois.ihuel.over-blog.fr/

Tous les commerces de la vieille ville dans la Grande Rue, certains n'y sont plus, d'autres ont changé d'enseigne mais la plupart sont encore là.

100 9389La fontaine des Soupir ou fontaine François 1er. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

A l'angle à droite.

Et en face !

100 9388La rue Porte Méane. (Photo Jean-Luc IHUEL du 03/12/2012)

Au fond la porte Méane, qui est un arc-boutant entre deux immeubles.

Passé cette porte on se retrouve sur les remparts avec, à gauche, la place Eberlé sur fond de Mélézin.

S'achève cette page de ce jour, il y a beaucoup de photos que je vais continuer à vous montrer et à décrire, quelques fois à ma façon.

Bonne soirée et à demain ou après-demain pour la suite.

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