Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

Publié le par François Ihuel

 

Ce n'est rien, juste l'accumulation de ce

qui se néglige, d'où certaines réflexions

 

 

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Bientôt dans vos boites aux lettres.

La politique locale tend à disperser les avis et les esprits, par des amusements puérils le maire de Briançon tend à faire passer ses dépenses injustifiables pour des dépenses indispensables, amuser la population c'est la soumettre à ne pas considérer les excès financiers communaux qui ne font pas avancer le bien-être des briançonnais, juste faire semblant par des effets d'annonces qui ne trompent que les crédules.

Une partie importante du petit encart distribué comporte quelques défauts, l'imprimeur chargé de ce travail ne parvient pas à me sortir du travail potable, ce n'est pas à Briançon mais via un site "VISTAPRINT" qu'un tiers  a sollicité.

Aussi j'ai demandé rectification, ce qui est fait mais tardivement, raison pour laquelle certains de ceux distribués ont le texte du haut tronqué, ce qui ne gêne pas de trop puisque le code QR est bon.

 

Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

L'emmerdeur.

Cet excellent film, d'Édouard Molinaro, ne m'a pas spécialement inspiré mais j'y trouve quelques accointances même si je n'égale pas Jacques Brel, de toute façon depuis ma naissance je suis un emmerdeur (voir mes livres "Onze métiers — Cent galères, rubrique livres et littérature de ce blog) et je doute qu'au bout de bientôt 74 ans les choses ne changent.

C'est d'ailleurs ce qui m'a valu ce statut spécial de paria familial (toujours dans mes livres), une forme d'attitude contraire à ce que la bienséance attend. Puis je suis devenu emmerdeur occasionnel jusqu'à devenir emmerdeur professionnel, en attendant de l'être à titre honorifique, puisque la reconnaissance d'une particularité reste une considération certaine même si elle ne répond pas à ce que beaucoup en attendent.

Mais il faut également admettre que d'emmerder le monde à aussi l'utilité d'alerter sur ce qui achoppe, de toute façon, vis à vis de la société en général, faire état d'un mécontentement nous qualifie d'emmerdeur, puisqu'empêcher de laisser tourner en rond ceux qui nous prennent pour des cons ça dérange, ça dérange d'autres cons, ces cons qui nous prennent pour des cons bien entendu.

Par contre, si on s'exonère de manifester ce qui ne fonctionne pas normalement on passe pour des couards, des lavettes qui n'osent pas de peur des représailles diverses, nombreuses et relativement efficaces, ça dépend, là aussi, de ceux qui les subissent.

Moi les représailles je m'en torche le cul, avec des gants histoire de ne pas mêler la merde qu'on m'impose à celle qui nous manipule et nous gouverne.

Mais c'est aussi valable localement, chacun pourra apprécier à sa manière la façon dont on le prend pour un con, à moins d'être trop con pour deviner qu'on y passe, ce qui fait l'affaire de ceux qui nous exploitent et nous manipulent. Dans un de mes livres je suggère justement de créer un diplôme de con après avoir subit les épreuves de cons, même s'il faut être con pour délivrer un diplôme de con, ce qui laisse à supposer qu'on serait le premier servi.

Je ne vais pas, une fois de plus, citer notre monarque municipal, celui qui met des "PAMPERS" tellement sa tête gonfle de suffisance et d'autosatisfaction, juste considérer qu'un individu, qui a récupéré suffisamment de mandats pour vivre d'assistanat fiscal sans être capable de les assumer, sauf peut-être donner des ordres, se maintient dans cet espèce de microcosme satisfaisant lui laissant supposer qu'il serait indispensable ; des indispensables il y en a plein les cimetières et pourtant le monde continue de tourner.

 

Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie
Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie
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Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie
Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

J'en remet une couche.

Certes, ça laisse de marbre ceux qui en sont les responsables, pourtant si peu à faire.

Nous assistons à une désaffection caractérisé des responsabilités, qu'elles soient privées ou municipales, puisque dans cette ville en délire on ne sait pas trop qui gère quoi et qui est responsables de quoi.

Dans la logique des choses le parking de l'espace Carrefour Market relève du privé, juste savoir si l'abribus qui le jouxte y est intégré, ce dont je doute.

Pour ceux qui ont de la mémoire, il y a quelques années, sur l'espace Carrefour City, un panneau du même genre s'est affaissé sur une passante, grièvement blessée on n'a pas été informé de la suite. (sixième photo, du Dauphiné Libéré)

Si encore ça avait servi de leçon !

Même pas, vu l'inclinaison dangereuse de celui de Carrefour Market on se dit que là aussi la négligence peut tuer, il ne suffit que d'un coup de vent.

Cet endroit, passant et a proximité de l'arrêt de bus dans un état immonde, est dans un état de crasse qui interroge, un support de lampadaire au sol, suite à deux effondrements, comme le panneau précédemment cité, depuis des mois dans un environnement indescriptible de laisser-aller qui interpelle sur les responsabilités diverses.

Ce n'est pas la ville, ce n'est pas la CCB, ce serait potentiellement Carrefour, mais l'abribus c'est la CCB, sauf que la ville ne semble pas prendre en compte le nettoyage des lieux, puisque la CCB semble ne jamais venir en ces lieux.

Pourtant concernant les espaces commerciaux il y a un cahier des charges (savoir au moins s'ils en ont connaissance !), il y a aussi un maire à la tête de la ville mais il ne doit pas savoir qu'existe une zone d'activité qui relève de la CCB dont il est pourtant le président, pour les indemnités de mandat peut-être, mais certainement pas pour assumer les responsabilités qui pourtant sont de sont ressort.

Comme quoi tout est relatif.

Je puis encore citer bien d'autres misères de la ville qu'une page de blog ne peut contenir, juste parcourir ce blog depuis sa création il y a maintenant plus de quinze ans.

 

Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

Au hasard.

Là, à cet endroit précis, le visuel est interrogateur, j'ai contacté plusieurs fois les services techniques concernant ces lieux, il n'est pas rare que j'appelle pour que soit vidée la corbeille qui dégueule de tout ce que les riverains peuvent y mettre.

Ces petits détails qui nous pourrissent la vie, cette navrance à la vue des touristes de passage qui se posent de sérieuses questions quand à l'état sanitaire de cette ville en déconfiture.

L'affaissement du dégagement réservé aux cars et bus fait que ces véhicules "tapent" le trottoir, ce qui génère, là aussi, les interrogations des touristes sur place ; si c'est ça une ville touristique il y a comme un gros malaise de fonctionnement.

D'ailleurs ils en font la réflexion ces touristes, surtout ceux venant de pays où la sécurité et l'hygiène font leur réputation (Allemagne, Suisse), la crasse française n'est plus une légende, ils sont témoins que dans notre pays la merde prime sur le reste.

 

Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

Mais aussi.

La voirie en délire, passage piétons ou passage piscine ?

Les écoulements d'eau de la voirie se font logiquement par des bouches d'égout, sauf qu'à Briançon on y trouve plus facilement de l'herbe qui pousse sur les bouchons de merde accumulée, les écoulements des eaux de pluie semblent n'être pas non  plus la priorité.

Il n'y a qu'à parcourir mes pages antérieures sur le sujet, rubrique Briançon du bandeau droit de ce blog.

Ces petits détails innombrables qui nous pourrissent la vie.

 

Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

Les incivilités.

Ces infractions permanentes, récurrentes et incessantes, déjà que cette gare routière est dans un état inqualifiable les contrevenants ne s'embarrassent pas de savoir sir les véhicules plus conséquents ne peuvent plus y accéder, c'est pourtant un autochtone, ce qui ne veut pas dire attentif aux autres, surtout que j'avais un handicapé en fauteuil roulant, déjà que cette gare est innommable en rajouter en squattant les emplacements spécifiques c'est vraiment mépriser les autres.

Ce n'est pas de la faute de la municipalité si des gens s'exonèrent d'un minimum de respect, maintenant, ce quartier en désolation c'est du ressort de la municipalité, sauf qu'il est plus valorisant de peindre des murs que de s'occuper de ce qui permettrait aux vacanciers d'avoir plus de considération nous concernant.

Mais le maire n'entend pas les touristes, ni les vacanciers d'ailleurs, déjà qu'il n'entend pas les briançonnais !

Il y a bien les médias qui pourraient influer sur le triste état de la ville, mais soudoyés par quelques facilités et subventions l'intérêt est plus pécunier qu'informatif.

 

Briançon, ces détails qui nous pourrissent la vie

Page Briançon du Dauphiné Libéré.

Sur 365 jours il y a 250 jours de sport, à croire que cette ville miracle est d'une sérénité à faire pâlir un couvent de nones.

Par définition les médias servent aussi à servir la population puisque c'est cette dernière qui en est le principal client, sauf chez nous, les douceurs journalistiques sont plus proches du patronage que de l'information.

À zut, incorrigible je dénigre encore, à croire que ceux qui avalisent se contentent de ce qu'on leur offre, quelques miettes, le reste les élus s'en gobergent.

Bonne soirée à tous.

 

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