Yoyo politique

Publié le par François Ihuel

 

Valérie régresse, Zemmour au zénith et Le Pen à la peine

 

Yoyo politique

Il est où ?

L'entrain du RPR, elle est où la vivacité et l'efficacité de l'UMP ?

Si le PS s'est effondré à cause des nullités qui l'ont dirigé, plus encore par le coup de grâce Hollande, on peut dire que le LR s'est lui aussi suicidé.

Quand on regarde le parcours Wikipedia de Valérie Pécresse on s'interroge sur ses prestations récentes, ou plutôt sur son manque de prestation.

Maintenant, Wikipedia c'est libre d'intervention, n'importe qui ajoute ou retire des citations ou de trop pompeuses flatteries. 

Va-t-on continuer longtemps à laisser se présenter des gens totalement incompétents à la présidence de la République ?

Je pense que Ciotti tenait plus la route que son adversaire pour la "primaire" de ce parti qui s'effondre.

J'en suis à me demander si certains élus locaux ont fait le bon choix préférentiel, ou si c'est juste par appartenance politique sans discernement.

 

Yoyo politique

Scandale d'État.

Il y a de fortes probabilités pour que beaucoup de choses se dévoilent.

 

Yoyo politique

Députée dépitée.

À travers ses mots les maux se ressentent, après des élections régionales désastreuses, par sa faute, les défections de ses piliers les plus important apportent le coup de grâce à Marine Le Pen, le marasme de la peine à cause de ses dérives et de sa navigation à vue qui lui ont fait faire fausse route.

D'avoir méprisé la base la tête vacille, elle va tomber ; persister dans l'erreur de se maintenir à ces élections faussées dans le jeu électoral au lieu de réaliser qu'elle est grillée, elle persiste par fierté personnelle tout en divisant les gens de la droite de la droite qui devraient être unis, parce qu'il ne faut pas se leurrer, les sympathisants LR voteront pour Macron si ce dernier parvient au second tour, persuadé qu'il l'est par ses sondages tronqués et ses manipulations médiatiques. 

S'il est satisfait qu'il y ait vingt sept candidats potentiels c'est bien pour diluer l'électorat, ça fait quarante ans que ça fonctionne, on ne change pas ce qui permet d'être élu par défaut.

Les sympathisants de gauche aussi voteront pour Macron, parce que le défit et leur haine viscérale pour le patriotisme passe avant la logique et le réalisme, cette partie de la population qui préfère en prendre cinq ans de plus de soumissions, de restrictions, de honte, de violences policières, de matraquage fiscal, plutôt qu'ils ne réaliseraient enfin qu'il est grand temps de tourner la page "gauche-droite", ou inversement, pour passer à la reconstruction de la France et le retour de ses valeurs.

Tous ces gens ne voteront pas pour l'avenir de la France mais contre un candidat ou candidate.

 

Yoyo politique

La peur de la peur.

Depuis la nuit des temps la peur est ce qui musèle, donc pour écarter un candidat on le présente comme un danger pour le peuple, pourtant question dangers on a la dose, jamais la France n'est tombée aussi bas, jamais les français n'ont été aussi gendarmés, soumis, taxés, pourtant ceux qui en sont responsables, ceux qui oppressent, mettent en avant justement ce qu'ils ont utilisé ; cette projection de responsabilités c'est le reflet de leur impuissance, un aveux d'échec qu'on impute aux autres, c'est si facile sur une population crédule.

Les ralliements divers en faveur de Zemmour c'est un signe que beaucoup devinent réalistes, pressentant que de continuer encore cinq ans dans la voie de la dégradation française ce sera la fin de la France, la soumission totale aux diverses communautés, l'avilissement à l'UE de la finance et le probable non-retour parce qu'en cinq ans la constitution sera modelée de façon à ne faire de la macronnie qu'une république de soumission et d'obéissance absolue.

Il y a une méthode qui consisterait à rétablir un réel équilibre, ce serait, trois mois avant chaque élection présidentielle, dissoudre l'Assemblée Nationale pour avoir un véritable électorat sincère, empêchant de ce fait le président de la République de faire pression sur les députés puisqu'en fin de mandat, et non au début ce qui lui donne libre cours de décider de l'avenir de ces dits députés et de les museler par la carotte ou les menaces.

Reformer une Assemblée Nationale un mois avant les élections présidentielles ce serait la réussite d'un juste équilibre.

À méditer.

Bonne journée à tous et à très bientôt.

 

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Publié dans Politique française

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