Petite revue de presse 22 & 23/10/2016
La suite.
Il y avait les "sans dent".
Il y a les "ploucs".
A droite comme à gauche il n'y a, dans le petit peuple, que des ploucs sans dent, pourtant ce sont eux qui élisent ceux qui les "insultent", paradoxe de l'adulation sans condition de ceux qui ne connaissent rien à la politique, qui se suffisent de peu de chose et surtout de promesses intenables.
Dans la logique, ceux qui votent, du "petit peuple", ne se repèrent que sur des promesses qui ne les concernent qu'eux, un vote tient à peu de chose, dès lors qu'un citoyen pense que celui pour qui il va voter lui apportera ce qu'il attend (Souvent en vain) il ne cherchera pas à savoir si le reste de la politique le concerne, c'est surtout pour ça que ces messieurs des "hauteurs" restent persuadés que l'esprit obtus de beaucoup de citoyens leur permet de se maintenir même s'ils sont nuls à chier.
De là à les considérer comme de la merde (Les ploucs sans dent) il n'y a qu'un pas que certains franchissent allègrement, au lieu de les nommer "la merde du peuple" ils les appellent les "sans dent" ou les "ploucs".
Il est vrai pourtant qu'une partie non négligeable des électeurs inscrits sont totalement incapables de juger la valeur d'un chef d'Etat autre que par sa belle gueule (Quoi que, Hollande !) ou sa propension à persuader ceux qui sont si réceptifs au tout et n'importe quoi.
Comment éviter alors que depuis plus de quarante ans ce soient toujours les mêmes aristocrates, de droite comme de gauche (C'est la même chose), qui se partagent le pouvoir en écartant tout ce qui pourrait leur faire de l'ombre.
Alors c'est vrai, le petit peuple se laisse mener en laisse, il se laisse bercer d'illusions et accepte la sodomie régalienne comme un passage obligé pour payer ses impôts.
Paradoxe de la République de maintenant qui se répond d'un pouvoir régalien alors que c'est un privilège de roi.
Mais ne sont-ce pas des rois qui nous gouvernent depuis 1972 ?
Ce qui fait que nous sommes aussi les rois, les rois des cons qui avalent tout ce que disent ceux qui exploitent les ploucs sans dents qui sont aussi les rois de quelque-chose.
Pour les autres électeurs inscrits ils ne votent pas parce que ça ne sert à rien, j'entends ça tous les jours, sans réaliser, les pauvres, que c'est justement parce qu'ils ne votent pas que ça ne sert à rien.
Maintenant, aller se faire chier à faire la queue dans un bureau de vote alors que c'est week-end est aussi une des plus grosses causes des abstentions.
Le jour où un vrai responsable fera voter en semaine, sur le temps de travail rémunéré, le pourcentage d'abstention sera divisé par deux, voire trois.
La peur de la "bête" immonde.
Ce serait presque amusant ces deux articles accolés.
- L'un qui se plaint de la nullité de notre hélas Président.
Depuis quarante ans qu'on se fait éponger et laminer par tous ces requins à chaque élection on en redemande, à croire que c'est bon la sodomie. (Quoi que !)
Quand à se poser des questions sur l'ampleur des dégâts il n'y a qu'à prendre pour référence les bilans précédents, depuis Giscard pas un président ne repart sans avoir largement augmenté la dette.
- L'autre sujet c'est la peur, la peur de quoi ?
On va donc puiser dans les archives du III Reich pour essayer de trouver des similitudes avec le fonctionnement du Front National, exactement comme les candidats aux élections présidentielles vont faire les poubelles des petits partis pour essayer de grignoter quelques électeurs.
Alors on guette les petites phrases en les déplaçant du contexte, on essaye de se remettre en mémoire la couleur des chaussettes des miliciens d'un autre âge, et on s'épouvante d'entendre les propos de haines des adhérents du FN, sans distinction, l'amalgame, une fois de plus.
Parce que je suppose que pour ce ou cette "RB07" le climat actuel baigne dans le beurre, dans des secteurs les français ne peuvent même plus sortir de chez eux passé 21h00, les autres rasent les murs, d'autres doivent montrer patte blanche aux guetteurs des dealers, et bien d'autres soumissions certainement plus contraignantes et avilissantes que le simple Ausweis de l'occupation où on ne risquait pas un coup de couteau pour un regard de travers ou un refus de cigarette.
En effet, le changement PS est passé par là, les soldats de la Wehrmacht en occupation en France étaient des agneaux à côté des racailles de banlieues qui font régner la terreur, mais il ne faut pas le dire, on va fâcher le Premier ministre pro-sioniste à la botte des USA.
Et puis il ne faut pas contrarier non plus l'Arabie saoudite qui programme l'invasion de la France, le gouvernement français aux ordres ne peut pas se le permettre.
S'il y a quelques égarés haineux qui ont adhéré au FN ce n'est pas Marine Le Pen qui est allé les chercher et puis si on veut voir le vrai visage de la haine il n'y a qu'à regarder les rictus de Mélanchon, on aura vite compris, ou les propos de haine de certains adhérents du Front de gauche, là aussi, si Mélanchon n'est pas allé les chercher il n'a rien fait pour les écarter contrairement au Front National qui fait du ménage en ce sens dans ses rangs.
Et puis si on étudie bien le faciès de Valls, à l'Assemblée Nationale, quand le FN a exceptionnellement la parole, on peut y définir le rictus haineux qu'accompagnent ses réflexes violents à peine contenus qui sont préjudiciables aux microx à la disposition malheureuse de ce personnage.
Là j'adore.
- Je dois faire partie de ces vieux cons "séniles" qui "critiquent", c'est en effet une forme de réaction à l'impuissance dans laquelle nous plongent ceux qui acceptent tout sans rien dire (Une autre forme de sodomie), d'ailleurs le simple fait d'effectuer un signalement à Géant, par exemple, me catalogue aussitôt dans les êtres exceptionnels, il y en a tellement des clients qui se font baiser par les multinationales en fermant leur gueule.
Mais il n'y a pas qu'à Géant que j'ouvre ma grande gueule, aussi à Leclerc, Carrefour ou autres commerces qui ont un peu trop tendance à nous vendre de la merde en nous faisant croire que c'est de l'Or.
Et puis en effet, ce "forum" du Dauphiné est utile, une vraie friandise, je n'écrirai jamais puisque "catalogué" par certains de ses membres comme un proscrit (Dès qu'on est au FN on n'est plus français, on est nazi) et puis mes vérités ne cadrent pas avec la déontologie de soumission de la presque totalité des quotidiens, ce qui en fait des torchons pour beaucoup.
- "Le bon exemple" ! La naïveté est chose courante, savoir déjà si, avant de recevoir, on accepte de prendre en charge cette énorme contrainte très couteuse qu'est l'immigration massive.
Depuis que le monde est monde et depuis qu'il y a des hommes pour diriger et imposer aux autres il y a toujours eut des inégalités mais on ne va pas en faire une page j'y serait encore à Noël.
Quand le gouvernement dit venir en aide aux migrants il ne veut pas dire les responsables vont les héberger, ils se disent pour foutre la merde dans la population afin de nous laisser les coudées franches il faut foutre le bordel dans la population, ce qui est effectif à grande échelle depuis l'élection de Nicolas Sarkozy.
Quoi de mieux que cette massive invasion de oisifs que l'Etat accueille avec l'argent de ceux qui n'en n'ont pas ?
S'il existait des hommes d'Etat en capacité de montrer l'exemple ça se saurait.
Etonnante attribution.
Je n'ai rien contre mais on se demande pourquoi la municipalité semble "incapable" de trouver des locaux pour les SDF alors qu'elle en trouve avec une facilité déconcertante pour ce qui la sert.
Je marque bien ce qui la sert puisque l'immigration est une mine d'Or pour le PS qui l'exploite (Pas spécialement à Briançon), une matière première de cette ampleur c'est inespéré mais comme c'est aussi soigneusement organisé l'un ne va pas sans l'autre.
J'ai eut l'occasion de croiser ces "syriens" et de leur dire bonjour parce que si je suis farouchement opposé à l'invasion ça ne m'empêche pas d'être correct et de respecter les gens, quels qu'ils soient.
Si la municipalité veut éviter l'explosion sociale ce n'est certainement pas de cette manière qu'il faut s'y prendre, et puis parler de coût c'est une gageure, des paroles avancées comme si ces "réfugiés" étaient de la marchandise (Ils en sont mais ne le réalisent pas), bien piètres arguments pour faire passer à la population "l'obligation" d'accepter ce que la majorité refuse, c'est si facile d'abuser de son pouvoir pour imposer.
L'élan de chaleur et l'humanité c'est un fait, on ne peut rester insensible au désarroi mais quand il y a plusieurs centaines de milliers de "chaleur et d'humanité" à trouver ça devient mission impossible.
Voilà donc un singulier bien pluriel qui consiste à faire passer un message personnalisé pour l'imposer à la multitude, un simulacre pour faire semblant.
La course aux impôts.
Ne pas croire que c'est une situation exceptionnelle, en 2000, quelques mois après que ma mère est décédée, j'ai reçu le même genre de courrier des impôts et de quelques requins créanciers, j'ai donc donné l'adresse du cimetière de Ris-Orangis en précisant l'allée et l'emplacement de la tombe.
Et bien Sofinco m'a réécrit pour me dire que leur lettre recommandée était revenue avec la mention "courrier non réclamé", à l'adresse du cimetière justement.
Comme quoi, quand on laisse quelques petites dettes même dans la tombe on n'est pas en repos.
Il semblerait donc que ma "farce" ait été prise très au sérieux, parfois, quand je constate le fonctionnement administratif de certains établissements, je ne suis pas étonné.
Mots et maux.
Il est vrai que certains mots sont répétitifs, maintenant on a le bagage qu'on a acquit et puis il faut aussi réaliser que les subtilités de la langue française ne sont pas assimilables par tout le monde.
Pas de quoi s'en rendre malade, les maux créés par les mots ce n'est pas bon pour la gamberge.
J'utilise largement des écrits courants et puis pour construire une phrase compréhensible il n'est pas nécessaire de lui donner une connotation linguistique pure, pour bien parler il ne suffit que de se faire comprendre, le reste c'est du "superflu" d'universitaire.
Et puis quand on est un(e) puriste linguistique on ne prend pas comme référence Juliette Gréco mais Rabelais, Voltaire, Victor Hugo, etc..
Moi je suis assez primaire, mon instruction vient de mes lectures, j'ai un langage vulgaire, parfois grossier mais j'aime ça et puis au moins on me comprend.
Elevé dans le bas peuple des "ploucs sans dent" je reste un petit écrivaillons inconnu, c'est bien suffisant et puis ma foi quand je casserai ma pipe je n'ai pas l'intention de rentrer dans les livres d'Histoire, d'autant qu'on n'y retient pas que les bons, loin s'en faut.
Le ski.
Comme tous les ans le débat concernant les tarifs sont d'actualité, logique, les briançonnais doivent pouvoir bénéficier de la montagne comme les littoraux bénéficient gratuitement de la mer.
Certes il y a des infrastructures à financer mais ces éléments ne sont pas construit pour les montagnards, ils le sont pour le tourisme de masse et de neige, une pompe à fric qui rapporte nettement plus que la baignade estivale, gratuite elle.
En fait le Prorel c'est le furoncle de la SCV, éternellement déficitaire ces installations qui ont plombé la ville pour une durée indéterminée sont en permanence déficitaires, ce n'est pas la construction d'un front de neige ou autres infrastructures ajoutées qui rendront cette remonté mécanique bénéficiaire, sa construction à cet endroit est déjà une erreur à l'origine mais on ne va pas revenir sur les circonstances, tout le monde connait et paye.
Le peu d'emplois générés par ces installations sont effet menacés mais je ne suis pas sûr que de continuer à aller dans le mur va les sauvegarder à l'infini, il va arriver un moment où il faudra prendre une décision douloureuse, tout le monde le sait, refuser l'évidence c'est faux-cul.
Alors je ne doute pas de la sincérité de Mr le Maire mais je doute que ça continue encore longtemps à couter plus que ça ne rapporte sauf inclure les frais dispatchés sur les collectivités locales et le secteur commercial, ce que ces derniers n'accepteront certainement pas, la SCV ce n'est pas la RATP.
Oui ou non ?
Savoir pourquoi, subitement, celui qui fustigeait les dépenses liées au passage du Tour de France se passionne pour que Briançon renoue avec cette tradition.
D'être ville étape a un coût important, plus important que d'être une simple ville traversée, en fait les dirigeants de ce Tour ont les dents très longues, tout le monde se souvient de la page publicitaire programmée par France 2 et FR3 quand il a traversé la ville en 2014, ce chantage aux finances c'est de l'arnaque mais c'est aussi un passage obligé.
Ce n'est pas moi qui aurait critiqué ce refus de payer alors que la ville est financièrement plombée, cependant les retombées économiques pour le commerce et le tourisme ne sont pas négligeables, le choix est donc plus équitable quand on reconnait qu'effectivement être obligé de payer pour recevoir reste raisonnable même si c'est une façon d'être mis au pied du mur.
L'étape Briançon de 2007 a couté une fortune à la ville, il faut dire que Nicolas Sarkozy, alors Président de la République, avait été invité à faire sa parade médiatique alors qu'il était au plus haut dans les sondages politiques, ceci explique cela.
Et puis il y a d'autres frais.
Je n'irais pas avancer que la ville est entièrement responsable mais on ne peut s'empêcher de penser que les négligences et les mansuétudes en matière de circulation et de stationnement incombent à la ville, pas forcément la gestion actuelle mais les gestions de plusieurs décennies de négligences.
Il en est de même dans d'autres secteurs, surtout en vieille ville fragilisée par la modernité, utiliser des infrastructures de trois siècles, non conçues en ce sens, pour fonctionner comme si tout était bétonné aux normes c'est une faute grave, ce ne sont pas mes pages sur le sujet qui manquent.
On se réjouit donc de la finalité de ces travaux d'importance avant de déchanter quand la facture sera répartie sur les impôts, parce que si le département et l'Etat financent en partie c'est quand même avec nos impôts, qu'ils soient directs ou indirects.
Il va falloir s'y habituer, vu l'état de délabrement de la vieille ville, vu les dégradations importantes et de plus en plus nombreuses s'accélérant, je doute que nos impôts locaux baissent d'ici longtemps.
Une pétition ?
S'il faut faire une pétition chaque fois qu'une transformation de la ville vient à l'ordre du jour on va pétitionner cinq fois par an tous les ans, ce ne sont pas les motifs qui manquent à Briançon.
Je conçois qu'on puisse avoir de la nostalgie pour ce qui a animé la ville durant plus d'un siècle mais je doute qu'il soit utile de préserver de l'ancien afin de s'en servir alors que du neuf pour le même objectif couterait moins cher.
Mais Mme Valdenaire a raison sur le fond, on manque cruellement de locaux municipaux a but associatif partiel, le spectre de la salle des fêtes se fait jour à travers ses doléances, c'est un sujet récurent, j'avais moi même préconisé une salle polyvalente en lieu et place de l'actuel Leclerc, marché couvert, salle des fêtes, et autres utilisations au services des briançonnais à moindre cout.
Maintenant garder un édifice pour des valeurs sentimentales c'est difficile, on ne va pas non plus garder le rond de chiotte qui aurait accueilli un cul illustre même si les résultats de l’illustre, en ces lieux, sont identiques aux résultats des culs les plus anonymes.
Il faut aussi penser à nos enfants et petits enfants qui aspirent peut-être à autre chose que la préservation du moindre objet qui aurait une valeurs historique.
Pourquoi pas !
Si on ne touche pas au site historique par des ajouts ou retraits qui le dégraderaient.
Toutefois il faut rester prudent, ce n'est pas parce que nous n'avons pas eut d'hiver rudes depuis des années qu'il faut s'imaginer que le secteurs n'est pas très sensible aux intempéries.
On a déjà été échaudé avec la Shappe.
Les coups de cœurs qui sont des gouffres à pognons c'est toujours un risque, c'est bien de faire des hôtels de luxe, savoir s'il y aura la clientèle en conséquence, vu l'état de délabrement des infrastructures routières de Briançon il faut d'abord commencer par le commencement, pas l'inverse.
Pour la SNCF Briançon n'existe pas.
Ça fait plus de dix ans que la SNCF ne veut plus gérer les petites lignes dites "non rentables", plus encore une ligne vétuste, à voie unique, géographiquement très difficile et n'étant pleinement opérationnelle que trois mois par an.
C'est ignorer totalement une partie de la population, d'autres régions sont dans ce cas de figure, le service publique obligé, des débuts de la SNCF, sont bien loin, maintenant c'est rentabilité comme les ex-PTT et EDF, le service à la carte, des dessertes à la demande, ce que ne peut faire un train, la gestion des lignes et leurs circulations impliquent des tableaux bien précis.
En fait le protocole d'abandon des lignes est très simple, on les laisse se dégrader, surtout dans nos régions au climat très changeant, puis au bout de dix ans, on dit qu'elles ne sont plus adaptées, d'une part par la défection de clientèle fatiguée des retards et problèmes, d'autres part par le non entretien de ces lignes.
Provoquer une situation dont on va se servir c'est connu mais ça marche à tous les coups.
Le cout de réfection n’étant plus adapté à la demande réelle on ferme les lignes pour les remplacer par des cars, ce qui est loin d'être la panacée, un voyage en car est plus long, plus fatiguant, les gens ne peuvent pas bouger comme dans un train, bref la galère.
Ce n'est pas le genre de détail qui préoccupe les hautes instances de l'Etat puisque c'est lui qui décide, en fait le tout TGV a tué le rail pour l'image et la rentabilité.
L'Etat se désengage de ses responsabilités, le service public n'existe plus.
Solution ?
Privatisation des petites lignes, mais à quel cout !
La plus grosse erreur de l'Etat dans l'entretient du réseau français c'est de l'avoir "privatisé" à Réseau Ferré de France, on a vu ce que ça a donné et bien des catastrophes ferroviaires en France auraient été évité si l'Etat avait laissé la SNCF gérer ses propres infrastructures.
On ne peut gagner de l'argent sur la sécurité, c'est pourtant ce qui s'est passé avec la privatisation, les privés n'ont pour objectif que la rentabilité, le reste c'est secondaire.
La fierté ferroviaire française c'est du passé, et c'est aussi ce qui nous fait perdre des marchés.
On se fout de nous.
L'effet électoral proche fait dire tout et n'importe quoi, comme d'habitude.
Il n'y a pas besoin d'être haut placé pour réaliser que le train de nuit est un serpent de ferraille lamentable, le matériel est vétuste, les voitures demandent à être rénovées, c'est le problème des lignes non électrifiées, le matériel ferroviaire français doit être l'image de la société mais uniquement sur les lignes électrifiées, ce qui ne risque pas d'arriver sur Briançon sauf décision ferme d'un Etat qui prendrait le taureau par les cornes et investirait enfin dans ce secteur.
Il y a des solutions, un tracé entièrement repensé qui allierait la route et le rail sur une infrastructure commune unique de Gap à Briançon, c'est de l'argent mais c'est aussi un énorme potentiel pour l'avenir, ne plus hésiter à mettre le paquet, à long terme se serait bénéfique, touristiquement, commercialement, industriellement et économiquement.
Nos enfants nous en seraient reconnaissant.
3,5 milliards d'Euros, six ans de travaux, et la voie ouverte vers le nord des Hautes Alpes, une bouffée d'oxygène à exploiter pour relancer l'économie locale et internationale en traversant sous le Montgenèvre, on ne fait pas de gain sur des pansements et des infrastructures d'un autre âge, on fait du gain et de l'emploi sur des installations de grandes ampleur, pensées à long terme.
Pour ça il faut en terminer avec les querelle politico-politiciennes qui détruisent l'avenir de nos jeunes, défaire ce que le prédécesseur à fait c'est aussi ce qui détruit la France.
"Déviation de la Roche de Rame", il faudra réfléchir à lancer un chantier en 2020 - 2025, pourquoi pas en 2080 ou 2100 !
Les haut alpins en ont marre d'attendre le bon vouloir des politiciens en CDD et d'être menés en bateau, l'un s'en va, l'autre arrive et on reprend tout à zéro, c'est lamentable de fonctionnement.
La rocade de Gap devrait être faite depuis plus de dix ans, la déviation d'Embrun a bénéficié de trois enveloppes successives, les deux premières ont été détournée pour investir dans des conneries sur le littoral, Mr Vauzelle ne s'en est pas vanté.
Et c'est continuellement comme çà.
L'argent du contribuable c'est de l'argent facile, c'est pratiquement inépuisable depuis que la politique suicidaire des gouvernement successifs, qui se renvoient la balle, dépense sans compter.
D'ailleurs, plus près, à Briançon.
Le 10 Octobre 2016.
En sortant du bureau de poste du Champ de Mars.
J'ai constaté la réfection des escaliers, mieux vaut tard que jamais sauf !
Deux messieurs en costume discutaient en admirant le travail accompli, les marches refaites, toute neuves, en béton bien compact, bien solidaire, hélas.
J'ai interpellé ces messieurs en leur demandant ce qu'ils comptaient faire sur ces marches, étonné l'un deux (Peut-être un ingénieur ou alors de responsable des BDF locaux) m'a demandé pourquoi.
Je lui ai fait remarquer l'environnement, je lui ai aussi dit qu'il reviendrait dans six mois quand ce sera de nouveau dégradé en lui montrant la Croix de Toulouse.
Devant son étonnement et son interrogation je lui ai donc précisé, considérant qu'il ne le sait pas, que les montagnes bougent, que la Croix de Toulouse exerce des contraintes sur le Champ de Mars en limite du verrou glaciaire sur lequel est construite la vieille ville, je lui ai prouvé que les désordres géologiques permanents auront rapidement raison de ses belles marches toute neuve.
Je lui ai conseillé de plutôt construire des marches flottantes ou, pour le moins, insérer des joints de contrainte entre les différents éléments béton de ces marches.
Dès le lendemain....
....ils ont tout cassé pour recommencer sur d'autres critères.
Je ne sais si c'est mon intervention mais je constate que même des "spécialistes" semblent ne pas prendre en compte la particularité de nos régions.
Bien entendu c'est du fric foutu en l'air, des dépenses supplémentaires et du retard dans les travaux.
Si au moins ça pouvait servir de leçon pour autre chose !
Nos misères récurrentes.
C'est certainement la vue que je photographie le plus.
C'est aussi le même constat navrant de l'impossible résolution des problèmes de cette vieille ville.
Les véhicules utilitaires garés à "l'arrache", on ne voit qu'eux.
Il m'a été répondu, une fois, que la période estivale était finie, ce qui laisse à supposer que quand les touristes ne sont plus là (Pour le peu qui vient encore) il est permis de faire tout et n'importe quoi.
Une mentalité plutôt exceptionnelle qui permet de s’exonérer des plus basiques règles de savoir vivre et de respect.
Sachant que c'est toute l'année il va être difficile, quand la municipalité aura changé de "camp", de revenir à un ordre disparu sans passer pour un fasciste, c'est aussi ce qui fait la clientèle de ceux qui ont besoin de paraitre, quel qu'en soit le prix, laisser faire pour avoir des voix électorales c'est le paradoxe d'élire des responsables pour qu'ils n'exercent pas leur responsabilisés.
Politique.
Un connaisseur, il est vrai que quand on va faire les poubelles des divers partis politiques on en connait le contenu.
Mr Juppé, pour une fois, dit une vérité, d'ailleurs il semble s'y complaire dans les poubelles sociales, sauf que lui ce n'est pas pour y chercher à manger, c'est pour dégueuler sur un peuple qu'il méprise, il a ses clients musulmans qui lui graissent la patte et le conforte dans l'ignominie politique dans laquelle il se vautre.
La SEERC pleure.
Pas autant que les clients toutefois, quand on sait que l'assainissement, aux factures abracadabrantes, coute une fois et demi le prix de l'eau, on se dit qu'il y a quand même des comptes qui ne sont pas clairs.
Bien évidemment ce n'est pas son président qui dira la vérité, non comptant de laminer les consommateurs le chantage aux frais vient s'y ajouter.
Pour ceux qui épluchent leurs factures, les services "taxés" semblent irréels tellement c'est confus et impossible à justifier.
Entre consommation d'eau, taxes diverses pour les eaux usées, taxes ramassées par les communes, taxes pour les organismes publics (Lesquels, ce n'est pas précisé !) et les taux de TVA variables il y a de quoi perdre son latin.
Çà c'est une belle arnaque.
La mairie de Briançon est "Charlie".
Sachant de quelle façon ce torchon insulte tout le monde et n'importe quoi je me dis qu'il ne faut pas s'étonner de certains fonctionnements.
Mais au fait, la municipalité s'est-elles inquiété de savoir si tous les briançonnais partageaient son point de vue ?
J'en doute, une institution de l'Etat qui s’octroie le droit de prendre faits et partis pour un magazine qui dégueule je ne suis pas sûr que ce soit inscrit dans la constitution.
On interdit les crèches dans les mairies mais on autorise le soutient à quelques égarées pas finis qui n'ont de matière première que la merde dégueulée de l'humanité.
Je n'ai rien entendu de l'opposition en ce sens sauf si elle avalise.
La mairie est à la population, pas à ceux qui l'occupent pour une durée déterminée.
Deux plaques "sophistiquées" aux frais des contribuables pour avaliser l'ignominie journalistique de ce torchon c'est dépenser l'argent à des conneries.
Au feu !
Si vous allez chez Leclerc à Briançon munissez-vous de votre extincteur personnel, on ne sait jamais.
Ce parking souterrain, qui manque cruellement de ventilation, qui n'a qu'une seule issue donnant sur un carrefour difficile à aborder, n'a que le mérite d'abriter des intempéries.
Leclerc, qui déréférence des produits pour faire pression sur ses fournisseurs à l'agonie, est loin de satisfaire tout le monde, l'exaltation de l'ouverture est retombée, il n'y a pas beaucoup de monde, je doute que le consortium fasse ses frais et puis le personnel est traité comme de la marchandise, sous payé et contraint ça change très souvent.
Il peut fermer Leclerc, ce n'est pas moi qui verserait une larme.
Bon, ça va pour aujourd'hui.
Bonne soirée à tous et à bientôt.