Fête médiévale Briançon 2015
Dernière réunion avant le jour J
Danseuses sur échasses
Place et avenue Vauban.
Dans la vieille ville de Briançon, les services techniques ont passé deux jours à la nettoyer de fond en comble, merci à eux.
Le marché médiéval.
De très bons produits, j'ai acheté trois bouteilles de vins aromatisés aux épices, spécial mais très bon, à déguster bien frais avec modération.
Et puis bien d'autres produits locaux artisanaux, une palette de couleurs et de saveurs.
Magicien médiéval.
Qui a beaucoup de succès, Carmen vend les tickets, toutes les animations sont gratuites sauf les deux qui sont très spécifiques.
La Grande Gargouille, il y a du monde venu de partout, c'est très réconfortant connaissant les difficultés pour accéder à Briançon en venant de Grenoble, certains n'ont pas hésité à faire le tour pour venir exprès à ces deux journées, merci de la part de toute l'équipe organisatrice.
Monsieur jambon fait estimer le poid d'un excellent, le gagnant dans la soirée. Deux jambons pour ces deux jours.
Les Gueux.
Sympathiques pustuleux repoussants, mais n'ayez crainte, ils ne sont pas contagieux, ils ne propagent que de la joie et de l'humour.
Voilà un "bouchon" bien dodu.
Il a trouvé la solution à la canicule, 32° au plus chaud de la journée mais l'avantage de la montagne c'est de retrouver 16/18 la nuit.
Les habitants et commerçants....
....De la vieille ville se prêtent au jeu, presque tous sont habillés médiéval, plusieurs restaurants proposent des menus "spéciaux" d'époque.
Une convivialité qui fait plaisir.
Esteban et sa troupe.
Tous les ans ils sont fidèles à la fête médiévale, des chevaux magnifiques qui sont très intégrés à la ville.
On passe des chevaux au temple.
Du moins à la place du Temple sur laquelle il y a la collégiale et des exposants.
L'atelier de teinture de tissus par un commerçant de la vieille ville, Il sait vous expliquer les différentes méthodes de teinture dont la garance, une de ses spécialités.
D'autres ateliers.
Divers corps de métiers anciens, très intéressants.
Le Mélézin.
Au-delà des remparts sur lesquels d'autres ateliers se dévoilent.
Atelier de vitraux à l'ancienne.
A ne pas louper, c'est aussi très intéressant.
Rue Porte Méane.
Le guet patrouille.
Les auberges restaurent.
Les habitants sont heureux.
Habitants.
Et promeneur sur âne.
Le médailler.
Spécialiste de la fabrication des sceaux, si vous voulez le vôtre il se fera un plaisir de vous le proposer.
La vieille ville de Briançon.
C'est aussi ses petites ruelles et ses exposants.
Là les forgerons rue du Pont d'Asfeld.
A découvrir....
....Les secrets de la forge, tout vous est expliqué par des professionnels à l'accueil chaleureux.
Et puis pourquoi pas acquérir quelques objets absolument uniques, voire personnalisés.
Puis redécouvrir les secrets de l'acier ancien, Conan le Barbare ne vous désavouerait pas.
La coutellerie.
Indissociable de la forge, de beaux produits fait main.
Au pied de la rue de Roche.
Paniers en osier et amuseur public.
Le marionnettiste....
....A un jeune public nombreux et très attentif, il a beaucoup de succès.
Qui dit moyen-âge....
....Dit chevaliers et combattants.
Dormir sous la tente.
La vie de ces gens d'époque était surtout nomade, s'installer là où on se trouve, quand il fait beau ça va, par mauvais temps c'est différents.
Trouver nourriture, eaux et bois sur place pour survivre dans des conditions parfois difficile.
L'intendance était rudimentaire, les besoins nutritionnels sont préparés sur place avec ce qu'il y a de disponible.
Peu d'hommes, à l'heure actuelle, s'en accommoderaient.
Plus récent.
Les casernes du fort des Trois Têtes qui datent des années 1720/40, Vauban en fut l'architecte mais est mort avant leur construction.
Elles ont longtemps servi à l'armée, laissées à l'abandon depuis la fin de la guerre, elles font l'objet de restauration.
C'est un coût très important qui ne permet pas d'avancer vite, si quelques bonnes âmes fortunées se sentent intéressées, n'hésitez pas à aider la ville à sauver ce patrimoine exceptionnel.
L'aqueduc de l'ancienne usine de la Shappe et le parc.
Chevaliers en herbe.
Qui se rendent sur la place Eberlée.
Au pied de laquelle....
....Des musiciens des temps modernes s'allient volontier à l'époque.
Un apothicaire.
Et ses herbes médicinales.
Rien de trop.
Si près du campement de la gueusaille, les pustules se bousculent sans scrupule, le grimage fait la différence, au moyen-âge ce n'était pas de l'amusement mais un fléau ravageur qui touchait les campagnes.
Un enfant sur cinq arrivait à l'âge adulte (15/16 ans à l'époque) où déjà à quarante ans on était un vieillard.
Les charmantes dames de maintenant.
On une espérance de vie bien plus grande, en musique ou en commerçantes, elles sont très agréables à vivre.
Un beau sourire dans de beaux atours font toute la différence.
Une fête sans animaux....
....Ne serait pas complète, un petit tour sur un âne ou dans une calèche, c'est très agréable et non polluant.
Et puis tant qu'à faire d'apprendre à monter, autant commencer très jeune.
Bien entouré....
....Le futur chevalier est à l'abri.
Ce n'est pas la présidente de l'association (Assise à gauche) qui dira le contraire.
Corps de garde.
Porte de Pignerol, de charmantes personnes sont à votre disposition pour vous louer les costumes qui manqueraient à ceux qui viennent de loin.
Les montagnardes....
....Vous attendent, vous ne pouvez pas les manquer en sortant de la ville.
Avec un pareil sourire.
Difficile de ne pas venir.
Votre photographe.
Vous ne me verrez pas dimanche, je suis bloqué par une sciatique.
Mais vous pouvez venir, du monde mais encore de la place.
Il fait chaud ?
Une équipe performante à votre disposition pour vous rafraichir moyennant quelques écus.
Tous bénévoles.
Et dévoués.
Les troubadours ne sont pas en reste.
Perchés pour mieux les voir et les entendre, c'est le plaisir des yeux et des oreilles dans un cadre exceptionnel.
Une musique indispensable.
Pour couvrir les cris de souffrance.
De ces jeunes apprentis combattants qui s'exercent au maniement de l'épée ou du glaive, il faut bien commencer à devenir un homme !
En attendant le combat.
On apprend et on se prépare.
Les "bains" sont prêts.
Une barrique pour se laver.
Avec un drap pour filtrer l'eau à chaque changement de personnage, l'eau étant longue à chauffer avec des pierres passée au feu, un bain servait pour plusieurs personnes, on changeait le drap entre chacun d'eux, la même eau pouvait servir pour six à sept personnes, bactériologiquement ce devait pas être le "top" mais à ces époque les déffenses immunitaires étaient plus performantes que les nôtres.
Une poire ne terre cuite servait de douche, ça n'a pas vraiment changé en dehors de la matière et de l'alimentation en eau.
Puis séchage avec différentes étoffes fabriquées sur place puis repos du guerrier avant d'aller au prochain combat.
S'entourer de symbole.
Puis former les jeunes recrues à manier les armes, la présente servant avant tout à ouvrir les entrailles, l'explication est on ne peu plus claire.
Des casques à rôtir au soleil.
Mais quelques fruits dans les récipients de bois pour se rafraichir, au son de la musique des troubadours.
Les belles font de la calligraphie.
D'autres accueillent les visiteurs.
Sous l'imposante Collégiale.
Si quelqu'un veut des photos je les donne avec plaisir, je les garde entières sur un disque externe pour la qualité, celle présentées sont réduites.
Vous pouvez aussi consulter le site http://www.briancon-vauban.com/ qui regorge d'informations et de photos.
Il y a aussi le site de l'association http://www.escartondebriancon.eu/
Bonne journée et à Bientôt.