Payer et casser ? Incohérence et vandalisme. Pompe à fric ratée.
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Echauguette d'angle de la place Dauphine.
Derrière, la vallée de la Guisanne.
Le Prorel vu de l'avenue Vauban.
Le Mélézin.
Moins dix ce matin sur les remparts.
Le Montbrison.
Vers le Nord, le Grand Aréa.
En ville la rue du Dr Vagnat.
Exactement comme hier. Comme ce soir il neige, ça fera une couche de plus.
Mais que se passe t-il donc pour que certaines rues soient délibérément délaissées ?
Pas de personnel ! Voir "Pôle emploi", il doit bien y avoir deux ou trois personnes qui ont envie de travailler.
Pas de sous ? Etonnant, avec ces belles barrières censées nous apporter fortune et soulagement de dettes.
Opérationnelles depuis !
La date est marquée dessus, comme le "Port-salut".
On nous remercie de notre compréhension, c'est gentil. Mais on n'a encore rien compris.
Et c'est surveillé.
Pas le parking !
Les barrières, seulement les barrières.
Des fois qu'on nous les vole, ou qu'on les abime.
D'ailleurs, à l'occasion d'une scéance du consel municipal, en Décembre 2009, Mr le Maire a dit que Berwick ne serait plus surveillé, trop cher a t-il précisé.
Vider les casernes de façon plus ou moins légale c'est moins grave que de pomper un peu plus de fric aux touristes. Pour les Briançonnais, c'est déjà fait mais ils ont l'habitude.
D'ailleurs, je me suis laissé dire qu'un petit plaisantin, mais est-ce drôle, aurait mis de la colle sur le matériel de sortie, au bout du Champ de Mars.
Qu'on ne soit pas d'accord, soit ! Mais qu'on bousille, ça ne fera qu'augmenter la note, donc les frais, donc les impôts.
Mais pas les recettes de péage.
Hélas, j'ai bien peur que ces recettes ne soient pas au rendez-vous.
Même mal dégagé, il y a de la place.
Enormément de place.
Je crains que les impôts viennent obligatoirement palier cette carence de recettes.
Les surépaisseurs de neige...
...Transformées en glace.
Ne vont pas attirer beaucoup de monde.
Le peu de neige que nous avons eu ne justifie pas de tels dépôts compte tenue de la prestation qui, elle, devrait justifier le "péage".
Il me semble, mais je suis peut-être dans l'erreur, que les prévisions exigeaient un parking "impeccable", une vidéosurveillance des véhicules et non des postes de péage, et un éclairage digne de ce nom.
Il y a aussi l'enrobé mais de ce temps il faut attendre.
Combien ? La facture !
En fait, on a commencé à faire payer ce qui n'est pas, pour régler la note de ce qui devrait être. Alors on paye la merde en attendant.
Comme une maison, on construit le toit et après on monte les murs.
C'est à "pisser" de rire cette vaste arnaque ! C'est de payer des conneries pareilles qui fait moins rire.
Les accès aux commerces, particulièrement soignés.
Il n'y a pas que le parking qui va avoir des problèmes de trésorerie.
A cette époque, parking pratiquement vide, vacances de Noël pourtant.
Pas un camion, pas un car, pas un camping-car, quelques rares voitures, c'est mal "barré" cette histoire. (Ou plutôt cette guignolade parce qu'on avait autant besoin de barrières que "les loups ont besoins de sonnette" (Vielle expression en perdition))
Là, ça va.
Immatriculations ? 17, 78, 42, 92, 05 (si si, il y en a encore) quelques Italiens, deux anglais, etc.
Place Dauphine comprise, soyons juste.
Je crois me souvenir qu'un arrêté a été pris par la municipalité pour réserver le stationnement intra-muros aux résidents et commerçants résidents.
Idée utopique et inapplicable mais qui a généré quelques recettes fiscales durant l'été, c'est toujours ça de gagné.
En faisant un effort, on pourra en mettre une autre devant.
Problème récurent mais jamais résolu.
Que de la "gueule", c'est tout.
A noter le soin apporté à l'entretien de la voirie. Un coup c'est bien, un coup c'est crade.
Qui est-ce, qui donne les ordres, déjà !
C'est derrière ces murailles.
Pas le Mélézin, la mairie ou sous marin du haut.
Ces ordres sont transmis par un responsable à un autre responsable (quoi que) du sous marin du bas.
Bien au delà de la Collégiale.
Mais avant le Montbrison.
Dans la vallée, en ville du bas, un bureau dans un bâtiment des services techniques.
Il y a un responsable, (du moins supposé l'être) qui donne des ordres à d'autres responsables qui les diffusent et envoient le personnel là où on n'a pas forcément besoin d'eux.
C'est du moins ce qui ressort de l'impression générale d'une partie de la population que je rencontre.
Attendons l'hiver, le vrai, c'est d'ailleurs aujourd'hui l'anniversaire.
A bientôt et bonne nuit.