Deuxième courant. (Suite de "ça repart")

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

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Les photos qui vont suivre viennent d'Internet, elles ne m'engagent donc pas.

C'est une infime partie de la propagande extrémiste de certains partis politiques dont l'un que je mets. http://mjcf67.over-blog.org/45-categorie-11955721.html 

D'ailleurs amusant puisque ce site prône publicitairement le "trading", spécificité du capitalisme que ce site combat.

Pas pour faire du prosélytisme ! Pour réaliser à quel point on peut être persuasif face à une certaine ignorance et grâce à une manipulation orchestrée.

Donc en respectant les idées de tous je dénonce ce genre de propagande qui mène à tout sauf à la sécurité.

imagesJe voulais savoir pourquoi la haine de la police.

Dans un certain milieu, bien sûr. (Je n'ai pas acheté le livre, il me reste du PQ dans mes toilettes bien que ses écrits ne méritent pas mieux)

Faisant suite à ma page récente sur les émeutes d'Amiens, j'avais précisé qu'il y avait deux courants.

Quand un (Où plusieurs) parti politique prône un laxisme et une différence marqué pour telle ou telle obédiences cultuelle ou/et culturelle, je ne m'étonne pas que ceux qui n'attendent que ça en profitent pour propager ce qui leur est, pratiquement quasi-permanente, leur raison d'exister.

Constatant que la gauche traditionnelle semble mauvaise gestionnaire d'un Etat mais pourrait être performante dans d'autres domaines (Réflexion personnelle), je dois aussi constater que les promesses de la droite traditionnelle ont déçu beaucoup de monde, y compris moi-même.

Maintenant, ces changements de partis à la tête de l'Etat (Je marque bien de partis puisque c'est ce qui détermine une politique bien précise pas toujours adaptée) ne font que changer quelques détails, certains d'importance, sans vraiment bousculer un pays au point de le déstabiliser.

Le Président, lui, n'étant choisi que sur sa bonne tête ou la façon de se comporter dans un monde où tout le monde doit rentrer dans le "moule" et non pas forcément pour ses compétences.

Partant du principe que le pouvoir législatif est de la même obédience que le pouvoir exécutif (Du moins la majorité à l'Assemblée nationale), l'application plus ou moins boiteuse d'un programme avancé, promis, n'est pas forcément réalisable fonction de la conjoncture du moment.

Le troisième pouvoir étant la Justice qui, du moins officiellement, est détachée des deux pouvoirs précédents.

Enfin, le pouvoir suprême, est celui du peuple à travers les médias qui ont la puissance de faire et défaire les républiques. (Du moins depuis la "constituante", accouchée très difficilement et dans un bain de sang entre 1789 et 1791 qui a mené Louis XVI à la guillotine le 21 janvier 1793).

De ces trois grandes institutions dépendent les pouvoirs de police.

Par définition, la police est en place pour faire régner l'ordre et protéger les citoyens.

Trois corps en matière de police : La police Nationale, maintien de l'ordre et presque toutes les tâches inhérentes à la vie de la communauté surtout fortement urbanisée, la Gendarmerie rattachée au ministère de l'intérieur, alors qu'à son origine elle dépendait du ministère de la défense, plus adaptée au reste du territoire en milieu rural mais avec un effectif très réduit, tâche immense vu la complexité de certaines régions, et les CRS, sorte de garde prétorienne de l'Etat et du chef de l'état.

Ces institutions ont toutes des règlements très précis et détaillés pour assumer leur tâche sauf que ces règlements, depuis une trentaine d'années, sont bouleversés par des directives diverses, fonction des gouvernements en place.

Il doit être difficile à un policier, un gendarme ou un CRS, d'accomplir son devoir si le fait d'appliquer les tâches qui lui incombe lui font prendre le risque de se retrouver devant la justice comme coupable face à des "loubards-victimes" qui sont hors la loi et s'abritent derrière les directives du pouvoir exécutif, aux fluctuations "caméléon" suivant les obédiences politiques.

Ces derniers temps on a tendance à considérer que le citoyen honnête et respectueux doit s'effacer devant la délinquance et le banditisme.

Ce, juste pour tenter de servir une cause souvent perdue décidée par le pouvoir législatif.

images (2)Caricature outrancière d'un parti d'extrême gauche.

D'une part ce parti semble vouloir accéder (Sans succès heureusement) à la tête de l'Etat mais il se contredit rien que par cette affiche.

Un Etat sans police ou avec une police muselé est un Etat qui courre à sa perte.

D'autre part, il conforte un parti autre (C'est marqué dessus) dans ses capacités à faire régner l'ordre si, effectivement, il cible nominément un parti capable à lui seul de faire régner l'ordre. (Finalement, pour le citoyen normal c'est de la bonne "PUB")

Ce qui sous-entend que les autres partis, s'ils accèdent au pouvoir ou y sont, sont incapables de faire régner l'ordre par une police efficace.

Elle est bien cette affiche, finalement elle conforte l'UMP dans sa volonté de faire "le ménage".

Celui qui n'a rien à se reprocher n'a pas à craindre une répression policière, ce qui sous entend que certains partis protègent la délinquance qui leur sert de carburant électoral.

En qualité de citoyen ordinaire, je choisirais plus un gouvernement capable ou potentiellement capable de faire assurer la sécurité.

La position du chef de l'Etat actuel est ambigüe, pour accéder à la tête de l'état il a laissé entendre que la répression était une forme d'anti-peuple. Maintenant, savoir considérer ce qu'il appelle le peuple.

Le peuple, c'est la plupart des gens qui participent à la vie communautaire par leur travail et les impôts qui en découlent pour que fonctionne l'économie du pays.

Les foyers de non-droit ont réussi à monter leur propre législation à grand renfort d'intimidations, d'exactions et de "chnouf", au milieu de ghettos construits pour eux (Une des erreurs des précédents gouvernements), qui font même vibrer les bases gouvernementales.

Ces zones de non-droit sont alimentés par du prosélytisme religieux et sectaire en plus de conforter une situation s'exonérant des bases de la vie en société.

Et puis on peut constater que dans les pays desquels ce parti se répond, il n'y a pas de police. Du moins on n'en parle pas, c'est mieux. Ils règlent leurs problèmes, semblables aux nôtres, de façon plus musclée, plus expéditive et le moins possible médiatisée.

La liberté d'expression a ses limites, de trop en faire nuit.

crs-sarkozy-cpeMélange des genres et des situations. (Constater que la caricature est très nettement ciblée)

De faire l'amalgame d'un mouvement contestataire plus ou moins justifié avec les violences urbaines qui découlent également d'une contestation est une gageure où s'engouffrent bon nombre de gens.

Cette parodie dessinée est très révélatrice d'un certain état d'esprit, semer la confusion dans la population afin de déstabiliser un système au profit de l'accession à un éventuel profit.

Quand on entend, aujourd'hui, parler d'un gouvernement, c'est toujours le côté financier qui domine, que ce soit pour reprocher au précédent une mauvaise gestion (C'est toujours de la faute de l'autre, comme à la maternelle) ou savoir combien peut percevoir un élu quel qu'il soit.

Les sujets abordés sont toujours identiques, également quel que soit le gouvernement.

Chômage, emplois, précarité, sécurité. (Mais ça fait cinquante ans que j'entends ça et c'est toujours d'actualité, preuve que personne ne peut en venir à bout)

Passe ensuite le tout-venant, c'est-à dire le confort du peuple et la gestion des prix qui est le levier principal de la reprise économique, ce qui semble ne pas être le principal souci des responsables successifs.

Baisse des prix = plus d'achats. Plus d'achats = plus de demandes. Plus de demande = augmentation des produits. Plus d'augmentation des produits = reprise de la vie industrielle et réduction du chômage par embauche de personnel, etc..

Donc moins d'indemnités chômage et RSA à payer, plus de recettes fiscales, donc allègement potentiel des retenues à la base qui augmente le pouvoir d'achat. La boucle est bouclée.

Maintenant, il y a les empêcheurs de tourner en rond.

h-20-2233941-1285259808Les grévistes extrémistes.

Non qu'il faille laisser faire tout et n'importe quoi mais il faut aussi voir que la plupart des "patrons" sont du privé et ont à coeur de satisfaire leur personnel.

En fait les grèves sont essentiellement ciblées sur les entreprises qui dépendent de l'Etat, en totalité ou partiellement.

A noter aussi que les grévistes extrémistes sont tous assurés de leur emploi quoi qu'il arrive grâce à un statut bien particulier qui leur permet de faire à peu près ce qu'ils veulent sans risque pour leur place.

Ce qui était indispensable dans les années 1910/1936 n'est plus du tout d'actualité.

Avant, on faisait grève pour une cause largement défendable, maintenant on fait la grève pour des causes quelques fois outrancières que j'assimile à du chantage.

Je suis bien placé pour savoir comment fonctionnent les syndicats au sein d'une grande entreprise publique.

C'est édifiant et il vaut mieux avoir le sésame indispensable (carte d'adhérent) pour être défendu. Si en plus vous adhérez à un certain parti alors là vous êtes dans le personnel à "défendre" en priorité.

Dans le cas contraire on vous répond poliment que votre cas est indéfendable. (J'ai donné)

Un préavis de grève est déclenché par les responsables syndicaux, c'est-à dire l'inverse de ce qui devrait être.

Les grèves sont souvent déclenchées quand ces responsables ont des vacances à prendre ou des RTT à rattraper, la base perd du pognon pendant que les précédents en gagnent partant du principe qu'il sont relevés de leur poste, pour exercer leur fonctions de syndicalistes (donc non grévistes), en gardant tous les avantages de ce poste, primes comprises, payés par l'entreprise et l'Etat qui verse des indemnités (Payées en grande partie par le secteur privé) aux syndicats fonction du nombre d'adhérents. 

Pour prendre l'exemple de la SNCF ou de la RATP, les usagers, privés de transports, financent ceux qui les privent de transport.

Maintenant, tout le personnel n'est pas gréviste et pour pouvoir "foutre" la merde les grévistes (Minoritaires) exercent des pressions sur les non-grévistes et les empêchent de travailler, par intimidations et blocage, pour emmerder le patron ou/et l'Etat selon les circonstances.

L'effet d'annonce syndical se base sur les personnes n'ayant pas travaillées en oubliant de préciser pourquoi la majorité n'a pas pu travailler.

Et puis il y a les "manifs".

povconDans lesquelles on recrute les enfants pour faire du "nombre".

Franchement, je me demande comment on peut utiliser ce genre de parodie qui va à contre-courant des prétentions qui justifieraient ces manifs.

Et puis c'est très courageux de faire porter par un gosse ce genre de pancarte, on ne sait jamais, avec la "télé" dans tous les coins et cette comparaison avec le "nazisme" ! (Il y en a qui devraient ouvrir les livres de l'histoire récente, ça les instruirait un peu)

Quand j'étais à la RATP, conducteur RER, certains syndicalistes m'ont pressé de venir manifester, ce que j'abomine puisque ça n'avance à rien et prouve au contraire que c'est une extrémité incontournable dans l'échec.

Un, un jour, en 1994, m'a dit menaçant et agressif, de mon refus de manifester, que je n'avais pas d'amour propre, je lui ai répondu que je ne nourrissais pas mes enfants avec de l'amour propre d'autant que notre statut nous privilégie au regard d'autres corporations. On m'a "foutu" sur la gueule mais je n'ai pas cédé. (Et oui, c'est aussi une des faces du syndicalisme)

Une autre fois ils ont occupé le ballast devant mon train pour m'empêcher de partir en ligne faire mon travail.

Ce n'est, certes pas une généralité mais des méthodes couramment employées.

Et puis à Torcy-marne-la-vallée, j'étais plutôt mal vu des syndicats pour mes prises de positions sur "l'injustification" de certains mouvements, en 1992 la CGT a refusé une prime de 1000 fr par conducteur de cette ligne prétextant que ça ne rentrait pas dans le cadre de leurs exigences. (Innauguration du parc Disneyland, 17 jours de grève inutile)

Résultat pas de prime, perte de salaire et rien au bout. (Ça c'est du bon boulot surtout pour ceux qu'on a emmerdé en ne les transportant pas)

Quand ça dure trop longtemps (Certaines exigences syndicales étant totalement irrecevables, voulues pour faire durer le conflit) on envoi donc les CRS pour permettre à ceux qui désirent "bosser" de pouvoir le faire.

La constitution n'ayant pas inclue, dans le droit de grève, le droit de suprématie entrainant une entrave à ceux qui veulent travailler, fait que l'employeur est en parfaite légalité s'il demande le dégagement des occupations, totalement arbitraires, des lieux de travail.

Quand il s'agit d'une entreprise plus ou moins nationalisée, pas de problème, le peuple qui travaille paiera.

Quand il s'agit d'une entreprise privée, et surtout avec la concurrence actuelle, le chef d'entreprise se voit mis au pied du mur et il doit prendre des mesures pour sauver ce dont à quoi il aspirait, c'est à dire tirer profit de son travail (Chef d'entreprise c'est aussi un travail et pas seulement 35 heures).

Si sa trésorerie lui permet de compenser il accepte partiellement les doléances syndicales pour honorer ses carnets de commandes.

S'il n'a pas la trésorerie suffisante et ne peut satisfaire ses clients, il va droit à la faillite.

Pour éviter ce genre de situation, dans certains contextes, force est de déposer le bilan, licencier et aller sous d'autres cieux ouvrir la même entreprise avec du personnel meilleurs marché ne se mettant pas en grève quatre mois sur douze. (Cumulés et certaines années noires que j'ai bien connu)

C'est aussi la raison principale de la défection des potentiels investisseurs étrangers qui veullent bien investir mais pour gagner, pas pour perdre.

La masse salariale est un des plus gros budgets d'une entreprise, c'est toujours là que les coupes se feront si l'entreprise est déstabilisée.

De demander plus en faisant gagner moins à un patron est suicidaire.

Le passé nous l'a prouvé très souvent et il est indéniable que les syndicats (Du moins certains) ont coulé plus d'entreprises qu'ils n'en n'ont sauvées. Ce n'est pas une généralité, c'est un fait vérifiable : (SKF à Ivry-sur-Seine, occupation de l'usine de 1983 à 1985 (Oui, vous avez bien lu, deux ans) qui s'est terminée par des licenciements massifs, le démentèllement de l'usine et la destruction des bâtiments, Usinor-Sacilor, grèves à répétition qui ont eu pour effet de vider les carnets de commandes aux profit des aciéries étrangères plus compétitives, les sites sont maintenant des ruines industrielles, les mines de charbons déjà fragilisées par l'arrivée de nouvelles énergies, etc.)

L'Etat, qui n'a aucun intérêt à voir son économie s'écrouler pour ces raisons, fait donc intervenir les forces de l'ordre. Pour certains c'est de la provocation.

Cependant, un vrai gréviste est celui qui se rend sur son lieu de travail mais refuse de travailler sans pour autant empêcher les autres de le faire et non pas aller à la pêche ou faire la fête en parodie de "manif".

En fait, le particularisme avide de quelques-uns, (Largement minoritaires) entraine les conséquences ci-avant décrites.

Le droit constitutionnel prévoit la liberté d'expression et de revendication à condition de ne pas entraver les droits des autres.

Si le chef de l'Etat, par le biais de son gouvernement, prend des mesures répressives, ce n'est pas pour le plaisir d'envoyer des "flics" bastonner le peuple, c'est pour faire respecter le droit régit par la constitution.

Pour en revenir à l'affiche, le peuple qui élit un chef d'Etat le fait en toute connaissance de cause et doit assumer les directives de ce chef d'Etat jusqu'aux élections suivantes.

Dans le cas présent, c'est une revendication syndicale qui ressemble fort  à une révolte politique, donc loin des revendications primaires, le tout solidement appuyée par d'autres partis politiques qui voudraient bien la place (Du moins ce qu'elle rapporte).

L'incohérence de "casser" du patron et de revendiquer le droit au travail pour des immigrés à qui certaines associations viennent promettre "monts et merveilles" créée un climat malsain qui est soigneusement orchestré par certains politiques.

Un patron, c'est un salaire, si maigre soit-il et un statut social. Vouloir s'élever dans les couches sociales par une augmentation de son bien-être est indiscutablement légitime mais chasser un patron c'est mettre des centaines de travailleurs dans la précarité et mettre l'économie du pays tout entier en difficulté.

images (1)Pourquoi cette photos Internet de ce parti.

Pour influencer les masses populaires et diffuser une propagande d'un autre âge.

Certes, ce n'est pas en France mais ce le fut.

C'est en Italie dans les années 1944/45.

Certains utilisent ces photos morbides pour inciter à la violence contre tout ce qui représente l'ordre et la discipline, donc la police.

Aussi pour cibler certains partis en leur faisant endosser un statut qui n'est pas le leur.

Le rôle de la police est complexe (Voir plus avant dans cette page) elle ne peut plus intervenir sans soulever des polémiques souvent déclenchées par les "Hors-la-loi" qui se retranchent derrière certains statuts de défense des droits de l'homme.

C'est-à-dire les associations de défense des droits. Mais les droits de QUI ?

De ceux qui payent la casse en étant obligé de fermer leur gueule ou les droits cyniques de ceux qui bafouent les lois en presque toute impunité ?

L'affaire Mérah qui a défrayé la chronique en mars 2012 est criante de désabusement.

Voilà qu'on s'interroge pour savoir s'il n'aurait pu être maîtrisé vivant, un dangereux criminel victime de la répression, on croit rêver.

Les policiers ne sont pas des assistantes sociales et dès que la sécurité des citoyens est engagée il est de leur devoir d'y mettre fin par tous les moyens possibles y compris l'élimination physique.

Je pense que le palmarès de ce triste individu ne pouvait aboutir qu'à son élimination, il s'y était préparé.

Nous vivons dans un monde où ceux qui n'ont pas de boulot crèvent alors que ceux qui perturbent la société sont grassement entretenus par cette même société. On se marche sur la tête dans nos pays "dit" civilisés.

Bien sûr, on a privé la magistrature d'un procès captivant et des avocats d'un bénéfice juteux (Médiatisation) mais faut-il entretenir de dangereux tueurs pour montrer que nous sommes humains !

Ou, être humain, c'est, justement, d'éliminer de la société ceux qui la déstabilisent !

Vaste débat ou chacun apportera sa note selon ses convictions.

Et c'est bien là qu'est tout le problème, la conviction individuelle qui est infiniment multiple.

C'est aussi la raison pour laquelle il y a des magistrats pour juger en lieu et place du peuple qu'ils représentent après des années d'études de droit et autres. (Pédagogie, psychologie etc.)

Donc deux courants, celui de la délinquance en augmentation (Cependant proportionnelle à l'augmentation de la population et à l'afflux massif de gens déracinés de leur milieu habituel) et celui de la maintenance de l'ordre, en diminution.

L'optique de vue des gens dépend, avant tout, de leurs conditions de vie et de leur environnement.

provocation-480x264-customDans le centre du midi de la France. (Ce n'est pas la photo)

Au milieu des vignes et des prés, les riches négociants en vins et d'autres denrées lucratives n'ont certainement pas la même vision des évènements, comme on les appelle, que ceux qui vivent dans les banlieues "sensibles". (J'adore ce mot faux-cul qui ne veut rien dire parce qu'on redoute de nommer un délinquant par ce qu'il est)

Si on doit envoyer la police avec des fleurs et un beau sourire pour parlementer avec des délinquants armés jusqu'aux dents prêts à la guérilla, je me demande si la société fonctionne encore normalement.

Les "bons" penseurs, défenseurs de ces pauvres loubards agressés par la police, n'habitent pas, non plus, dans les citées "dites sensibles".

Partant de ce fait, il est intéressant de constater que ce sont les agresseurs qui se plaignent d'avoir été agressés par les forces de l'ordre alors qu'ils ne se contentaient que de préparer un barbe-cul géant pour faire la fête.

Comme il n'y a pas beaucoup de bois dans les banlieues, on prend ce qui traine, des voitures, par exemple, ça brule bien et puis ça permet d'augmenter les primes d'assurance de ceux qui ne sont pas concernés.

Et les flics qui viennent les emmerder ! Ce n'est pas de la provocation çà !

Et puis les équipements sportifs et scolaires servent de feux de joie pour compléter cette fête, les derniers ne servant pas beaucoup pour certains de ces fêtards. 

Fort heureusement il y a des reportages sur le travail de la police, ça nous change des procès qui sont souvent stériles.

violences policieres webPropagande puérile d'extrême gauche.

D'après certains, les médias seraient écartés des lieux de révolte et des guérillas qui s'en suivent pour laisser tranquillement les "flics" casser du noir ou de l'arabe sans témoin. 

C'est ce qu'on entend parfois et c'est désolant pour les deux parties.

D'une part parce qu'une infime minorité jette le discrédit sur l'ensemble des gens de son appartenance et d'autre part pour laisser entendre que les "flics" ne sont bon qu'à coller des PV et casser du délinquant. (Pardon, des potentiels auteurs d'incivilités", il faut faire très attention à ce qu'on dit et marque pour ne pas être accusé de racisme)

Moi je me marrerais bien si, d'un coup, il n'y avait plus de flic, plus de gendarme.

J'en connais, des détracteurs, qui "chieraient" dans leur froc et ne sortiraient que le matin, pendant que les loubards dorment.

Alors, pour tous ces bons penseurs d'une morale plus juste (Pour qui ?) insatisfaient de leurs conditions dans un pays ou on peut traiter publiquement de "Cass toi pauv Con" un Président de la République (Oui je sais il l'a dit aussi mais comme le protagoniste ne voulais pas se salir à serrer la main du Président cela sous-entends une insulte voilée, pas très courageux, finalement, ce Mr.) sans aller plus loin qu'un échange de mot d'oiseaux, se rassurent, il ne doit pas y avoir beaucoup de pays au monde où ce genre de spectacle resterait ainsi sans conséquence.

C'eut été certains chefs d'Etat, de l'Est notamment, il n'aurait pas fait cinquante mètres (L'homme sali par le Président) sans être vigoureusement appréhendé.

A l'Est camps d'internement pour plusieurs années, à l'Ouest matraquage en règle et au Moyen-Orient la mort.

Pays qui se veulent avides de liberté mais qui mettent à mort les homosexuels qu'on veut marier en France.

Alors oui, il y a deux courants, celui de la justice et du droit et celui de l'anarchie pour entretenir un climat délétère.

Je pense que le jour où on aura enfin mis un terme à l'immigration anarchique (Arrêtons de faire du "faux-cul" en appelant un chat un chien et de se voiler la face devant une évidence) , nous aurons déjà franchi un grand pas.

Bien entendu ces lignes n'engagent que moi mais sont largement partagées, silencieusement, par ceux qui craignent les représailles.

Bientôt autre chose et j'espère avoir des photos, ces temps assez tièdes m'empêchent de sortir et je ne reçois plus rien de Briançon.

A bientôt et bonne semaine.

Ah si, juste une parenthèse : Le gouvernement va se pencher sur le problème du blocage des prix du carburant mais après la rentrée et après la dernière vague de vacanciers, ça rapporte trop le pétrole.

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