Désinformations médiatiques

Pour instiller la peur il faut des chiffres.

La peur c'est la maitrise des populations.

Instruction et journalisme.

Sauf erreur dès la 6 ème on nous apprend la notion de pourcentage, avant c'était même dès le CM1 mais l'éducation nationale régresse.

Qui plus est les journalistes sont par définition des gens instruits et supposés intelligents, donc à pouvoir mesurer la justesse des informations qu'ils glanent pour en révéler la plus exacte réalité.

Hors, ce qui vient des pays totalitaires est faux ou déformé, en Chine, sur une population de 1,5 milliards d'habitants, il n'y aurait eu que Wuhan de contaminée, la pandémie serait donc partie de cette ville de 11 millions d'habitants sans infecter le reste de la Chine mais ayant infecté la planète comme une trainée de poudre, sauf être très bête peu de gens vont croire à cette fable. 

On nous annonce 3500 morts en Italie, sur une population de 60 millions d'habitants, sans pouvoir faire une synthèse de ces chiffres ni se baser sur des critères de population, on sait en revanche que ce pays a été le plus affecté par l'immigration de toute provenance donc la libre circulation de tout, y compris les maladies diverses.

On nous annonce qu'aux USA il y aurait 100 000 infectés sans préciser que ce pays a une population de 330 millions d'habitants, donc un pourcentage faible si on s'arrête à ces dit chiffres, c'est à dire 3/10 000 ème de la population, moins qu'une épidémie normale d'autres maladies annuelles. 

On a des chiffres, qui tournent à 600 000 malades du coronavirus dans le monde, c'est à dire 7/10 000 ème de la population mondiale, là encore on s'interroge sachant que d'autres maladies saisonnières dépassent ce chiffre.

Je devine que si l'on se base sur le début de cette pandémie et qu'on prend donc la Chine comme point de départ on peut estimer que ce serait plusieurs dizaines de millions d'infectés dans le monde mais on manque de chiffre des pays totalitaires, des pays étanches aux informations et des pays n'ayant pas de structures réellement fiables pour avoir de réelles données, comme l'Inde, le continent africain, l'Amérique latine, l'archipel indonésien, ce sont justement ceux qui ont une forte concentration de population au km2.

L'attitude du Brésil à refuser des mesures sanitaires basiques va faire exploser ces chiffres, nous n'en sommes qu'au début, ce n'est pas en semaine qu'il va falloir compter mais en mois. 

Infos divergentes.

Sur Internet, et à travers des médias n'ayant pas de connivence ni relations directes, on a des chiffres nettement différents, ce qui prouve que la panique médiatique mondiale est à la hauteur de leur manque d'information. 

Mais en France ce n'est pas mieux, à travers les réseaux sociaux on découvre que des gens atteint ne sont pas pris en compte, comme pour le chômage on avance les chiffres induit par le gouvernement. 

Alors restons réaliste et logique, un virus qui se répand à grande vitesse ne cible pas une population définie, pas plus qu'il ne s'arrête aux diverses frontières, avec les relations internationales explosives aucun pays n'est épargné, il y a probablement le même pourcentage d'infectés quel que soit le pays ou le continent, alors les médias mondiaux qui soufflent le chaud et le froid ce n'est qu'une stratégie politique des divers pays concernés et déclarés, l'Inde vient seulement de prendre des dispositions de confinement, il est un peu tard, ce pays, aussi peuplé que la Chine, est dans un état sanitaire nettement moins évolué, on s'attend au pire. 

Mon avis personnel, c'est que d'ici six mois nous seront à plusieurs centaines de millions de morts, dont seulement 10% seront comptabilisé.

Par contre la population mondiale va réapprendre à vivre autrement, se poser des questions quant au fonctionnement gabegique qu'elle applique depuis un demi siècle.

Matières premières.

On réalise que les pays producteurs de pétrole s'affolent, il y a trente ans on s'inquiétait de la possible pénurie de ce précieux produit, aujourd'hui on ne sait plus quoi en faire, les réserves débordent, les prix s'effondrent, on réalise mondialement que ce qu'on produit n'est plus consommé à sa juste nécessité, ce qui fait exploser le gaspillage et ce qui va à l'encontre d'une économie saine.

Les pays producteurs qui ont abusé de cette matière première sentent le vent tourner, leur économie, donc leur survie, est entièrement liée à leurs exportations de pétrole, c'est pourquoi ils inondent le marché en espérant que la baisse des prix fera remonter la consommation, ce qui est une erreur.

Mais il va en aller de même pour d'autres industries, on va enfin réaliser que de ne produire que ce dont on a réellement besoin permettra à la planète de mieux se porter.

Une prise de conscience internationale qui va être bénéfique dans les dix ans qui viennent. Enfin.

Alors pas de panique, on va juste réduire la population mondiale d'un cinquième en une année, ce qui finalement ne sera pas un mal.

Pourquoi nous ment-on en permanence ? Pour préserver l'économie, maitriser les populations et tenter de canaliser les révoltes.

Il faut savoir qu'à chaque fois qu'une grande épidémie à traversé le monde s'en sont suivis des révolutions, des révoltes massives, des règlements de compte et des changements de régimes.

C'est juste cela que les dirigeants du monde tentent de juguler pour préserver leurs intérêts, rien d'autre. 

Je ne me fie pas aux médias, je sais pertinemment qu'ils ne "travaillent" - ou plutôt ne fonctionnent - que pour des causes gouvernementales n'ayant aucun rapport avec la réalité, je suis mon intuition et surtout j'analyse.

Bonne journée à tous et à bientôt. 

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