Questions briançonnaises
On se pose en effet des questions sur le déroulement des interminables travaux dans la totalité de la ville.
Je n'ai pas de page "réponses briançonnaises", on n'a jamais de retour de nos élus.
Les HLM pour seniors.
Ou résidences pour vieux, ou inversement.
Peut-être aussi logement sociaux parce que j'ai cru comprendre que certains de ces HLM avaient cette destination, mais comme rien n'est clair il est difficile de savoir ce qui est et ce qui n'est pas.
Ce qui est ce sont ces chantiers interminables et divers, ils sont immanquables, c'est déjà pas mal.
Les deux cheminées d'usine sont en place et les quelques essais ont démontré, provisoirement, qu'il n'y a pas de fumées opaques, mais ça c'est normal au début, on verra dans quelques mois quand la maintenance fera défaut, institution locale faute d'argent.
Ce qui n'est pas c'est la sécurité, du moins des riverains, il y a quelques jours j'ai appelé les ST pour leurs signaler que des grillages de chantiers, renversés par le vent, avait percuté une voiture en mouvement, j'ignore s'ils se sont rendu sur place pour sécuriser bien que ce ne soit pas de leur ressort, la gestion des chantiers du coeur de ville laisse apparaitre pas mal de déficiences et une anarchie palpable, savoir qu'il existe aussi des chantiers propres, pas à Briançon. (Voir ma page "on croit rêver" du 23 décembre 2018)
Piéton à Briançon.
Juste savoir que tout le monde est piéton de temps en temps, certains pour aller de l'appartement à la voiture et inversement, puis d'autres qui marchent beaucoup, je suis entre les deux, je m'efforce à marcher pour n'en pas perdre l'habitude.
Ce secteur du coeur de ville c'est un des endroits les plus critiques en matière de sécurité, divers intervenants des chantiers voisins ne prennent pas de précautions spécifiques afin de sécuriser les piétons qui s'aventurent témérairement en ces lieux.
De la même façon, il y a quelques semaines, j'ai appelé les ST afin de leur demander s'il était possible de répandre quelques graviers sur ces "trottoirs" gelés, les piétons devant marcher sur une chaussée étriquée aux passages de véhicules divers dont des très gros.
Il m'a été répondu que c'était prévu et qu'une équipe s'en chargeait dans la journée, ce que j'ai constaté.
D'ailleurs c'est encore une chance qu'on ait des gens responsables et réceptifs aux ST briançonnais, si on compte sur les responsables élus on risque d'attendre longtemps avant une intervention, ces élus étant souvent injoignables ou simplement non concernés, chacun sa merde.
Je souligne donc qu'à chaque fois que j'appelle les ST il y a une réaction positive de ces gens si sollicités d'être trop peu nombreux pour une tâche titanesque dans cette ville en ruine.
Qui c'est le con qui a placé çà là.
Cet étranglement généré par des grilles de chantier, supposées protéger les uns et les autres, rend le croisement des véhicules particulièrement difficile, il y a des camions, des cars et des bus qui passent ici en permanence, aucun responsable de chantiers n'aurait la présence d'esprit de se demander si en déplaçant ces grilles on ne gagnerait pas en sécurité.
C'est justement à cet endroit que le vent en a poussé quelques unes sur des voitures en mouvement.
On se demande ce que deviennent les belles images que la municipalité à mis en avant sur la perfection de ce coeur de ville qui ressemble pour le moment à un foutoir ingérable.
Les trottoirs sont en attente de trouver un entrepreneur qui continuera ce que le précédent à laissé en place suite à dépôt de bilan, comme quoi rien n'est clair dans le financement de ce complexe architectural pourtant choisi sur des critères garantissant un bon travail, un des articles du Dauphiné Libéré sur l'excellence de l'architecte soit disant primé.
On va me dire la municipalité n'y est pour rien.
Et bien si, elle y est pour quelque chose puisque l'appel d'offre semble avoir favorisé des favoris choisis d'avance comme à chaque appel d'offre qui n'a de finalité que de respecter une procédure.
Et puis des conneries on en voit ailleurs, elles sont de la totale responsabilité municipale, comme ce panneau "céder le passage" implanté sur la chaussée au rond-point des Toulousanes.
Pour les grands véhicules c'est le pied, le risque d'accrochage est permanent mais je ne pense pas que ce secteur soit très prisé des élus qui l'évitent d'ailleurs, c'est là qu'on a casé les gens des classes sociales inférieures - c'est ce qui se dit - et qui n'intéressent les élus que pour les élections.
Et puis pas loin on a aussi le ghetto des migrants de passages, pour ceux qui ne restent pas bien entendu, ces derniers, oisifs à se laisser entretenir, ont transformé le secteur en bidonville douteux et à éviter, si on passe trop près on nous regarde de travers.
Ces gens, esclaves modernes exploités par les associations qui en vivent, attendent on ne sait quoi en regardant les briançonnais aller bosser pour les entretenir.
On n'a pas un balais à leur passer pour nettoyer ne serait-ce qu'autour de leurs locaux qui tournent à la porcherie ?
Bref, un autre sujet à problème puisqu'ils n'ont pas le droit de travailler, ce qui doit en arranger certains d'ailleurs parce qu'ils n'ont pas été importés pour ça.
L'excellence briançonnaise.
On va me dire ce n'est pas du ressort de la municipalité.
Et bien si justement, si le réseau de téléphone est géré par France télécom, ce qui n'est pas forcément une garantie, l'implantation des éléments dépend de la municipalité, l'état aussi, quand on constate ce genre de navrance on s'interroge de savoir pourquoi cette même municipalité se targue de construire la ville de demain alors qu'elle est absolument incapable d'entretenir celle d'hier qui reste celle d'aujourd'hui, ce qui confirme le désintérêt flagrant de nos élus pour la population qui en subi les conséquences journalières.
Des poteaux pourris qui soutiennent encore des armatures rouillées d'un autre âge ça laisse quelques questions en suspend. Où passe l'argent des impôts supposés entretenir la ville ?
C'est juste en peu plus bas que le commissariat de police dans la rue de la République appelée plus communément "Chaussée".
Je ne suis pas étonné.
Sachant que le président de la COM COM c'est aussi le maire de Briançon on peut comprendre que les querelles s'enveniment.
Il faut aussi savoir que les briançonnais, dans leur totalité, se sont vu imposer un contrat SEERC sans le connaitre, ils ont contracté et signé pour la distribution de l'eau, si chère dans cette ville aux multiples sources naturelles, pas pour engraisser des requins qui se gobergent sur le dos de ceux qui ont tant de mal à finir le mois.
Deux contrats en un mais à l'abonnement payé deux fois, c'est juteux si on y ajoute les prestations diverses taxées sans qu'on sache à quoi ça sert.
C'est le reflet de la France d'aujourd'hui d'ailleurs, plus de parti politique pour défendre les uns contre les autres, juste la politique du fric, qui est uniforme, et les petits avantages concédés à ceux qui nous gèrent.
Les magouilles de première heure se transforment en conflits pour que chacun de ces truants racketteurs puissent en tirer le maximum de profits.
De toutes façons en finalité ce sont ces couillons de briançonnais qui paieront la note, quelle que soit l'issue de cette "bataille".
Gestion municipale.
Sauf erreur, dans toutes les villes le stationnement est limité à 24h00 à la même place, on peut comprendre que cette mesure soit élastique puisque le casse-tête du stationnement à Briançon rend difficile l'application de cette mesure.
Toutefois, sur le parking de la gare, cruellement déficitaire en place mais on ne sait toujours pas qui est le responsable, SNCF ou municipalité, ce véhicule est là depuis plus de trois ans, potentiellement dangereux de part la nature de ce qu'il contient, carburant, huile, acide de batterie et autres composants en décomposition, il mobilise une précieuse place que les visiteurs ou les usagers de la gare aimerait pouvoir disposer.
Il y en a d'autres depuis moins longtemps mais déjà plusieurs semaines, pneus crevés, garées à l'arrache n'importe comment ; ce secteur va devenir la "casse" de la ville, il faut dire que quand on voit l'état des alentours ça commence effectivement à ressembler à une "casse" sauvage.
Ce secteur, de plus en plus difficile de par la gare et la présence d'une des plus grosses entreprises de briançon qui emploie plus de 80 salariés, devrait depuis longtemps avoir fait l'objet d'une restructuration et de tracés de stationnement plus en rapport avec les activités diverses adjacentes.
On a entendu parler d'un vague projet mais ça ne reste qu'un projet alors que c'est une des priorités municipales en matière de gestion d'infrastructures urbaines.
Encore l'irresponsabilité des responsables irresponsables locaux plus avides de trouver des finances pour tenter de terminer le coeur de ville que pour s'occuper sérieusement de la population de la ville.
Pourtant ces irresponsables sont en place, élus par ceux qu'ils favorisent et à cause des querelles intestines partisanes de certains opposants, surtout par l'inaction de ceux qui gueulent le plus fort alors qu'ils ne sont pas allés voter parce que ça ne sert à rien, on en voit le résultat.
Hors titre.
Quoi que !
Inutile d'y revenir, c'est un des boulons routiers traditionnels qui circulent sur toutes les routes de France, si les autorités voulaient vraiment que ça cesse il y a des solutions mais ça ne rapporte pas à l'État.
Juste que je remarque que pour quelques journalistes la vitesse autorisée est toujours 90 km/h, ce que j'ai également relevé quelques jours plus tôt dans le même journal et concernant une infraction similaire.
C'est juste un détail. Hélas.
C'est tout pour aujourd'hui, j'écris des petites pages n'ayant pas beaucoup de temps entre mon boulot, mon blog, l'écriture de mes livres, mon ménage, ma bouffe, ma toilette et autres distractions manuelles personnelles - parfois nocturnes - que je ne préciserais pas, ainsi que mes déplacements administratifs et quelques heures de "dorme" pour tenir la route.
Bonne journée à tous et à très bientôt pour autre chose.
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