Il y a le feu ? où ? où ?
Monsieur le Premier Ministre.
Un seau d'eau dans un volcan n'éteint pas une éruption, maintenant il faut aller jusqu'au bout.
Un gel n'est pas une suppression, il y a trop longtemps que les élus et le gouvernement matraquent le peuple, où va l'argent volé au peuple ?
On ne le sait pas !
La fable de la transition énergétique c'est pour les enfants de maternelle, nous on veut du concret, des engagements fermes en faveur du peuple, écrits noir sur blanc, les paroles on n'en veut plus.
Il est trop tard pour appeler les pompiers, il n'y a plus rien à bruler, maintenant des cendres qui fument encore et de celles à venir on veut autre chose :
- Ne pas signer d'accords européens qui vont précipiter la France dans le giron de la haute finance internationale.
- Ne pas signer les accords sur la libre migration sans contrôle.
- Réduction des indemnités pharaoniques des élus.
- Réduction du train de vie de l'État.
- Rétablissement de l'ISF.
- Arrêt total de l'immigration qui plombe les finances d'assistanats dont ne profitent pas les nécessiteux français.
- Remettre dans l'ordre les responsabilités gouvernementales.
- Ramener le prix des carburants sur l'indexation de la valeur du prix du baril.
- Annuler l'augmentation de la CSG des retraités qui n'en peuvent plus.
- Remettre la vitesse à 90 km/h puisqu'on a vu que la mesure de réduction est inutile pour la sécurité.
- Supprimer les radars "pompes à fric" pour ne laisser que ceux qui sont réellement utiles à la sécurité.
- Orienter la politique "santé" sur la formation et l'embauche de personnels hospitalier.
- Cesser de financer les pays dit "du tiers monde" dont les peuples ne voient pas la couleur des subventions ainsi versées.
- Ne pas privatiser les barrages hydroélectriques dans le but de les vendre aux investisseurs étrangers.
- Re-nationaliser les autoroutes et en réduire le montant des péages.
- Redonner à la police ses pouvoirs, non pas pour repousser les manifestants mais pour rétablir l'ordre républicain dans les banlieues chaudes et les zones de non-droit.
Etc. Etc..
C'est maintenant qu'il faut bouger, c'est maintenant que tout se décide.