Briançon, ville fauchée
Déjà l'hiver dernier.
Camion de la ville.
Des feux inexistants puisque détruits, je ne sais si les forces de l'ordre ont encore ce rôle de vérifier le bon état des véhicules en circulation, DE TOUS LES VÉHICULES, mais il semblerait que les services municipaux y échappent.
N'importe quel citoyen se balade avec un véhicule à la signalisation dans cet état est verbalisé, ce qui est normal.
Alors pourquoi les véhicules de la ville circulent-ils dans ces états !
Et encore, là vous n'avez que l'image, suivre ce présent ce n'est rien que du bonheur pour les poumons.
Comme cet hiver je lance donc une souscription pour que les briançonnais fassent un don, en plus de leurs impôts détournés, afin d'acheter des feux en bon état pour les véhicules municipaux et pour faire vérifier les moteurs qui polluent et perdent de l'huile.
Sauf erreur il y a des écologistes parmis les élus, il est vrai que ce sont des écologistes politiques, pas grand chose à voir avec la protection de l'environnement, d'ailleurs rien qu'à voir la ville !!!!!
Ils, pardon, elles sont plus préoccupées à la création d'une voie verte au milieu des bois et des prés que de se soucier de la santé des enfants de la ville qui respirent cette merde en permanence.
Il est vrai aussi que ce sont les enfants des autres, comme dans cette ville les élus se moquent superbement des autres ceci explique cela.
Briançon, ville pas encore chauffée mais fauchée à cause du chauffage qui ne chauffe pas encore mais qui fauche les porte-monnaie des fauchés non chauffés, sauf les esprits.
En fait c'est magnifique Briançon, il n'y a pas besoin de se creuser la tête pour trouver un sujet, sauf peut-être pour les journalistes locaux qui sont aussi aveugles que les élus puisque les sucreries de la page sucrerie de Briançon, sur le journal local, ne font pas état de ces incalculables anecdotes, je suis sûr que le tirage du journal augmenterait.
Mais bon, l'image de la ville passe par les obligations payées par la municipalité pour taire ce qu'il faudrait dire et écrire ce dont on se fout royalement.
Pauvre France.
À bientôt, pour autre chose.
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