Ma petite revue de presse personnelle
De tout, relevé dans la presse ou constaté sur place.
Mes impressions.
Pas étonné.
J'ai vu plusieurs fois ce camion avec sa remorque à la Shappe, j'ai effectivement constaté une certaine désinvolture dans les soins apportés à ces animaux, sans toutefois constater quelque chose mais n'étant pas spécialement attiré par les animaux de compagnie, parce que je ne pourrais pas m'en occuper donc les rendre malheureux, je n'ai pas approfondi mon observation.
Cependant il est réel que cet attelage assez rudimentaire appelle attention, c'est donc bien que ce cas soit étudié de plus près sans pour autant mettre en cause arbitrairement les gens qui en sont responsables.
Des salopards.
Ceux qui déposent leur poubelle n'importe où.
Ici c'est chemin du Barry.
Je ne pense pas que ce soit un riverain, je pense plus à un automobiliste de passage qui, accompagnant peut-être un enfant à l'école, puisque c'est un des circuits privilégiés, pressé aussi d'aller au boulot donc ne prenant pas le temps nécessaire pour s'arrêter aux Molocks prévus à cet effet.
Bien entendu c'est une supposition, rien ne vient corroborer mes déductions.
Cependant, ce chemin utilisé comme raccourci - il est vrai que c'est fatigant de faire le tour par les voies prévues - par bon nombre de briançonnais, intra et extra muros, est aussi bien pratique pour y laisser discrètement quelques merdes.
Sens interdit autorisé préférentiel.
Je ne vais pas revenir sur les raisons qui font que beaucoup d'automobilistes ignorent superbement la signalisation donc la réglementation, c'est même presque préconisé pour faire un pied de nez à cette même réglementation.
Ces photos ont trois jours mais ce matin c'est à l'identique, certains automobilistes pressés descendent à vitesse excessive ce chemin du Barry obligeant les collégiens à se pousser pour que ces précédents passent alors que le sens interdit a été mis en place justement pour protéger ces mêmes collégiens.
Maintenant il est vrai que les gosses des autres !!!!!
Jusqu'au jour de l'accident, que j'attends avec anxiété puisque ça arrivera un jour, je pourrais donc produire un courrier que je détiens qui avalise complaisamment les infractions en ces lieux.
Sauf si la municipalité supprime ce panneau de sens interdit pour se disculper, il est vrai que là non plus la vie des gosses des autres n'a pas beaucoup d'importance.
Autre pied de nez.
Ce véhicule stationné devant une sortie de garage d'immeuble.
C'est assez fréquent, soit le - ou la - conducteur de ce véhicule ne voit pas l'entrée de ce parking souterrain, ce qui est interrogateur quand à sa capacité à conduire, soit c'est délibéré en se moquant royalement des désagréments occasionnés pour les riverains habitants cet immeuble.
Il est vrai que la suppression de plus de la moitié des places de stationnement du secteur génère des comportements excessifs, toutefois c'est privé, donc hors juridiction, donc on fait ce qu'on veut.
Difficile de ne pas comprendre que certains en viennent aux mains, ce qui, devant les tribunaux, ne sera pas reconnu.
Quelques arrêts de bus.
Je ne cible pas les employés municipaux qui passent bien trop de temps à ramasser de la merde évitable, je déplore qu'il n'y ait pas assez de réceptacles - poubelles et corbeilles de rues - pour éviter ces spectacles permanents.
"Jus" de marché.
La ville de Briançon a cette particularité de toujours improviser dans l'urgence, ce qui fait qu'il n'y a pas de salle des fêtes pour une population de 12 0000 habitants, qu'il n'y a pas non plus d'emplacement ferme et définitif pour le marché.
Ce marché est donc déplacé au gré des travaux d'un endroit à l'autre, un temps à la Shappe, puis sur l'espace Durance de la ZAC du même nom, puis avenue du 153 ème RIA, rue Centrale, place Gallice Bey, en attendant une prochaine affectation encore incertaine.
Bref, c'est le bordel autant pour les briançonnais que pour les commerçants ambulants.
Un éventaire ça génère quelques désordres incontournables, personne n'y peut rien, les commerçants emmènent leurs déchets, d'autres les mettent dans les réceptacles à cet effet à de rares exceptions près.
Cependant les traces générées par l'activité de ce marché se retrouvent au sol, là non plus on ne peut pas faire grand chose d'autre que nettoyer.
Laveuse de rue à Paris (Photo Internet)
Sans nécessairement investir dans un engin couteux, bien que multifonctions mais je garde cette option pour ma campagne municipale de 2020, il est possible d'utiliser le camion qui arrose les plantations, d'y adjoindre un "karcher" afin de pouvoir, avant la remise en circulation de cette rue Centrale, donner un bon coup de jet d'eau sur les "jus" de marché, d'une part ça fera nettement plus propre, d'autre part ça supprimera les odeurs et enfin ça évitera les multiples insectes divers attirés par ces jus au grand "DAM" des commerçants de cette rue Centrale.
En fait pas grand chose à faire, pas d'investissement - il doit bien y avoir un "karcher" aux services techniques - une petite heure de travail pour deux employés communaux d'ailleurs déjà sur place pour rendre la circulation à cette rue.
Juste de la jugeote et du bon sens, je ne doute pas un instant que cette initiative municipale soit bien vue des riverains de ces quartiers.
Fuites d'huiles moteur.
De la même façon, la municipalité pourrait recommander aux exposants de bien vouloir glisser un carton, à remporter bien sûr, sous les moteurs des véhicules qui sont indispensables pour installer les éventaires de marché.
Certains de ces véhicules sont très "douteux", leur entretien relève de la fiction mais ce n'est pas de mon ressort, pour ça il y a le contrôle technique automobile.
La pollution par hydrocarbures et huiles diverses c'est un fléau, il ne faut pas grand chose pour prévenir ces nuisances et les réduire, voir les supprimer, juste du bon sens et du civisme.
Faut-il un arrêté municipal ou un simple signalement de l'appariteur - ou placier - chargé de gérer les commerçants et de vérifier la bonne exécution des consignes !
Là aussi, un peu plus d'attention et quelques consignes ciblées feraient l'affaire sans que ça coute un sou à la ville.
J'aimerais comprendre.
S'il existe des fermetures éclair géantes urbaines il va falloir en acheter une.
On gagnerait du temps et de l'argent.
Ici on a ouvert la rue très généreusement, pour passer les tuyaux de chauffage urbain, peu de temps avant on avait déjà ouvert pour passer le câblage des lignes EDF.
Là on ouvre de nouveau, alors que c'est à peine rebouché, pour passer ??? Je ne sais pas encore.
Ne serait-il pas plus économique et moins perturbant pour une circulation déjà difficile d'ouvrir une seule fois, de passer des conduites sèches prêtes à être utilisées plutôt que d'ouvrir et refermer ces rues plusierus fois de suite au mêmes endroit ?
Ce qui est plus perturbant c'est que ça va être la quasi-totalité des rues de la ville sur des années.
Combien ça coute ?
Qui paye ?
Là aussi.
C'est la troisième fois en peu de temps qu'on ouvre et qu'on referme cette rue.
Elle n'est pas stratégique, juste que pour les bus c'est une vraie galère, les automobilistes qui vont chercher leur pain juste au-dessus se plantent là à l'arrache, les bus sont emmerdés pour tourner, déjà que c'est court.
Ceux qui stationnent à cet endroit ne réalisent-ils donc pas qu'ils emmerdent le monde ?
Sauf à être débile, comme se garer devant des sorties de parkings.
Les chauffeurs de bus urbains ne sont pas à la noce, les itinéraires détournés, donc des temps de parcours modifiés.
Les clients le savent-ils que ces chauffeurs n'ont même pas le temps d'aller pisser ni de boire un café puisqu'il n'y a pas de pose alors que c'est contraire à la loi sur le travail.
Aucun "bout" de ligne n'est équipé de toilettes pas plus que d'un point d'eau.
Serait-ce qu'un chauffeur fait partie intégrante des organes mécaniques du véhicule ?
Certainement vu le peu de considération qu'on leur accorde, que ce soit la municipalité, qui gère ces lignes, ou les clients qui pourtant savent que les travaux et le bordel chronique briançonnais génèrent des retards.
Pour information, aucun chauffeur ne me fait de confidences, je connais très bien le métier et j'ai bossé pour la TUB en 2001.
Culture.
Qui dit culture dit message, qui dit message dit instruction, qui dit instruction dit enrichissement de la culture.
Alors je me demande pourquoi dès lors qu'on veuille faire passer un message il faille réduire la culture à des abréviations qui détruisent cette culture.
La langue française est une des plus riches au monde et certainement la plus difficile à apprendre de par cette richesse justement, je ne m'étonne plus que l'anglais soit si utilisé en toutes circonstances, cette langue pauvre et très basique convient effectivement à une compréhension internationale.
L'anglais et moi ça fait deux, quand je tombe sur des textes en anglais je délaisse, de même que pour beaucoup de produits que je n'achète pas à cause de cet anglicisme primaire.
Alors le théâtre de Briançon deviendrait le théâtre du massacre de la langue ! Il est vrai que la culture englobe aussi une forme d'inculture qui convient très bien à ceux qui s'en contentent et s'en délectent.
Nos visiteurs de quelques heures.
Ce sont ces cars qui intègrent dans leurs circuits la visite rapide de la vieille ville, là ce sont des polonais, une cinquantaine de touristes furtifs qui vont faire quelques emplettes en vielle ville sauf que !
Il est 8h55, rien n'est ouvert en dehors des cafés, et encore, pas tous.
Les commerces de la vieille ville n'ouvrent que vers 10h00 pour les plus matinaux, certains n'ouvrent que vers onze heures.
Il reste donc les photos à faire depuis les remparts pour emmener à Varsovie une des plus belles collections de voitures d'occasion exposées sur les remparts classés de la ville la plus haute d'Europe, et comment faire pour avoir la meilleure façon de conserver ses ruines et ses trous légendaires.
Il n'y a pas à chier, question accueil touristique on reste les meilleurs dans le concours des plus minables organisations touristiques.
La signalétique étant très rudimentaire, quand elle existe, les cars étrangers déposent leurs passagers là où les chauffeurs voient de la place, pour garer il n'y a pas plus d'information et puis c'est payant, au moins, ce que ne dépenseront pas ces touristes dans les commerces fermés ils le dépenseront dans la durée de stationnement histoire de faire les dites photos pas très engageantes.
Mais bon, Mr le Maire est content et s'autosatisfait de son incompétence dans ce domaine supplémentaire.
Ce jour là aussi.
Il semblait satisfait de lui, il est vrai que cet exposé sans contradiction autorisé avait de quoi l'enduire de lumières illusoires, on ne va pas y revenir j'ai fait une page en ce sens, très résumée il est vrai.
J'ai d'ailleurs omis un autre détail, quand un interlocuteur a été autorisé à poser une question sans y être à débattre, Mr le Maire a répondu qu'il y a quelques décennies la France avait aussi accueilli d'autres migrants, il a donc énuméré ces dits migrants de l'époque, polonais, italiens, portugais, et autres, qu'il compare aux migrants d'Afrique actuels, il oublie juste de préciser que les migrants précédemment énumérés sont venus chercher du travail, une intégration - réussie - et un statut social, contrairement à ceux d'aujourd'hui qui ne viennent chercher que refuge sécurisant, finances faciles d'assistanat et largesses occidentales sur lesquelles pourtant beaucoup d'entre eux crachent, mais certainement pas la volonté de s'intégrer.
Aucun n'est venu pour travailler, ça se saurait et on les accepterait mieux en ce sens, la terre est à tout le monde mais tout le monde doit y mériter sa place.
C'est souvent.
Que j'en vois arriver au petit matin, ils ne me dérange pas ces pauvres gars exploités par les associations et certains politiques, ils sont avant tout des victimes mais vont le rester, victimes des passeurs, des ONG, des mouvements politiques qui les exploitent, des associations qui ne vivent que pour les exploiter et des patrons peu scrupuleux qui les embaucheront peut-être un jour pour un salaire de misère en les entassant à trente dans vingt mètres carrés.
C'est ça l'eldorado promis par les ONG ?
Pubs et prospectus.
J'avais fait un article sur ce sujet il n'y a pas si longtemps, je suis donc satisfais de constater que la presse se penche aussi sur le problème.
En ces temps où la publicité occupe la première place de la presque totalité des médias, surtout pour ce qu'elle leurs rapporte, on se pose effectivement la question de savoir s'il est encore opportuniste d'imprimer chaque année des centaines de tonnes de papiers, perdu, pollueurs et destructeurs de forêt, pour un résultat quasi-nul.
Il est vrai que ça fait travailler du monde, les imprimeries d'abord puis les distributeurs ensuite et les employés communaux en finalité pour ramasser tous ces éléments jetés sur la voie publique.
Ce matraquage pour vanter des produits souvent douteux c'est aussi une plaie pour la société, je me demande toujours d'ailleurs pourquoi les boites aux lettres qui débordent se voient compressées d'incrustation de force des prospectus qui ne peuvent plus y rentrer, une autre forme de débilité.
Je n'en écrirais pas plus, tout est dans cet excellent article.
Autre excellent article.
Dénoncer l'homophobie, ce qui n'y changera rien, je crois même au contraire que de plus en parler accentue le phénomène.
La quasi totalité des agressions homophobes ont lieu dans les établissements scolaire et les lieux de travail, c'est une arme dangereuse qu'utilisent les homophobes qui sont, souvent, des refoulés sexuels qui se défoulent.
Le chantage à l'homosexualité est aussi très répandu, surtout en entreprise, à l'école c'est différent, ça commence au collège par des moqueries en sixième et se termine par des actes de violence en première.
C'est un sujet que je traite largement dans mes livres.
Il est probable que la médiatisation va de pair avec l'augmentation des actes homophobes, cet effet de gangrène des esprits à travers les médias.
Ça commence comme ça.
En primaire les moqueries ne sont pas le fait des enfants mais des adultes à travers les enfants, aussi paradoxal que cela puisse paraitre.
Dans les familles il n'est pas rare que les conflits d'adultes soient exposés à table, de dénigrer telle ou telle personne ou famille c'est le lot de la société.
Pour dénigrer et faire du mal il suffit de prononcer les mots magiques, voleur, homosexuel, repris de justice, etc.
J'ai connu une famille, dans l'Yonne, qui, même pas encore arrivée dans le petit village, était déjà proscrite d'accusations inconnues, infondées mais dans l'objectif de faire du tort.
Je m'y arrête quelques lignes sur un fait réel vécu.
Un homme marié, pas trop instruit, plutôt rebelle envers la société, mais son enfance peut l'expliquer et c'est aussi ce que je développe dans mes livres, il a trois enfants, deux garçons et une fille, il a eut quelques démêlés avec les autorités de la ville de Sens, pas bien graves mais assez pour que ça se sache à travers les gens qui le connaissent un peu.
Et justement, dans ce petit village habitaient quelques flics de sens, j'en connais trois, quand ils évoquent leur quotidien professionnel ils parlent forcément de ces quelques faits divers auxquels ils sont confrontés tous les jours ou presque. Donc ils font état de cet homme plutôt rebelle qui a passé plusieurs fois quelques heures dans leurs locaux du commissariat.
Rien de bien extraordinaire, c'est la journée classique des commissariat de toutes les villes de France. Sauf que dans ce bled paumé au fin fond d'une petite vallée rurale, les mentalités arriérées de certains autochtones bien du cru, depuis des siècles, n'admettent pas d'autres fonctionnement que le leur, c'est un peu une des tares de la France profonde, où qu'on soit, mer, campagne ou montagne.
Ces récits anodins non ciblés et totalement dénués de ressentiments sont arrivées aux oreilles du maire de ce petit bled paumé, un maire aussi paumé que son bled et bien encré dans ses terres dont il est le plus gros cultivateur, c'est d'ailleurs pour ça qu'il est maire comme dans beaucoup de ces petits villages isolés où voter pour le plus riche est un gage de garantie de tranquillité, la politique n'existe pas.
Ce maire un peu analphabète, ce qui n'est pas de sa faute, gère son village comme sa maisonnée, il est le maitre et entend bien le rester, je m'en suis rendu compte dès la première réunion du conseil municipal.
La Justice, voulant donner une chance à ce père de famille un peu hors société, a trouvé bon de l'éloigner de Sens en le "casant" dans un petit village perdu au milieu des bois et des prés, ce fut donc le nôtre qui fut choisi.
Ce père de famille, voulant aussi se donner la possibilité de pouvoir sortir de cette spirale juridique et policière, a accepté de bon coeur de venir habiter au village, ce que le maire, entendant ça, a refusé mais les dispositions du préfets l'ont emporté sur son refus.
C'est donc pendant une réunion du conseil municipal, quelques semaines avant l'arrivée de cette famille, que le maire a déclaré à tous ceux qui voulaient l'entendre qu'on allait avoir un drôle de coco au village, un repris de justice dont personne ne veut, ce qui est faux mais tourné comme ça par le premier magistrat du bled c'est parole d'évangile.
Donc, à peine au village cette famille s'est vu montrée du doigt, insultée, vilipendée, mise au rencard à peine installée. J'ai pris la défense de cette famille, j'ai monté des dossiers pour cet homme en plein désarroi que la connerie humaine condamnait sans même le connaitre. Bien entendu je me suis attiré des velléités, surtout du maire qui, du haut de son mètre quatre vingt dix, ne m'impressionnait pas du tout, ce qui l'enrageait, - un livre à venir - lui le maitre se faire remettre en place par un minable de mon acabit, dans sa propre commune, en défendant un homme humilié à cause de lui justement, ça n'a pas fait que des heureux dans ce village.
A l'école, les enfants des villageois ont forcément imité leurs parents, insultes envers ces pauvres gosses déjà rejetés par la société, brimades, coups, l'ainé, onze ans, ne se laissait pas faire, déjà instruit de la connerie humaine et se rebellent instinctivement de ces ignobles accusations qui le visaient mais visaient aussi ses parents. J'ai protégé cette famille.
Dans la tête d'un gosse c'est terrible, une tempête, pas de refuge, pas de recours, tout subir sans rien dire. Son cadet, timide, un peu fragile, s'est vu traiter de petite pédale, de fillette, et autres de ces viciosités d'enfants qui les prononcent sans en même comprendre le sens.
C'est là et comme ça que ça commence le rejet par la société, celui qui est faible doit devenir fort et se battre ou alors subir toute sa vie en baissant les yeux. C'est aussi dans mes livres.
La lâcheté de s'en prendre aux faibles c'est un des pivots de cette société qui ne peut fonctionner qu'en ayant aussi une part de malfaçon. La société doit être tordue pour bien fonctionner, alors l'homophobie prends tout son sens, le racisme aussi, la mise au pilori de ceux qu'on ne supporte pas se fait jour, gangrène cette société qui se pourri de se repaitre de ses travers.
Il est si facile d'inculquer la haine des autres aux enfants, sauf que ces enfants vont devenir des adultes qui vont à leur tour propager la haine des autres, sans fin.
Personnellement on a longtemps pris ma gentillesse pour de la faiblesse, ça rend étanche à beaucoup de chose, ça détruit ou ça fortifie.
Le racisme, l'homophobie, le machisme, ça commence à l'école maternelle.
Dans quelques jours une autre page, je reprends le boulot sur un car pendant ces deux mois d'été.
Bonne soirée à tous.
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