Journalisme ou journalistes ?

Publié le par francois.ihuel15.over-blog.fr

 

Journalisme, un sujet "tabou" mais combien révélateur de la soumission.

 

Journalisme ou journalistes ?

Le journalisme ! Un beau métier.

 

Captivant, bien rémunéré, le métier du journalisme permet de parcourir le monde (Quand on est bien en place) et d'avoir des contacts que peu de personne du monde du travail ne peut avoir.

 

C'est un métier qui ouvre des portes fermées pour le commun des mortels, qui permet de cotoyer les "grands" de ce monde, bref pour celui ou celle qui aime l'aventure et l'inédit c'est la voie royale.

 

C'est aussi un métier à très haut risque pour ceux qui sont sur des terrains difficiles, c'est le revers de la médaille qui justifie un salaire confortable.

 

Si le salaire des élus de la République peut être remis en cause et montré du doigt celui de journaliste est mérité, du moins dans la majorité des cas.

 

Par définition je respecte les journalistes parce qu'ils nous apportent ce que nous attendons, du moins dans le principe, ce n'est pas la réalité de tous, loin s'en faut.

 

Journalisme ou journalistes ?

Il y a journalisme et journalistes.

 

Rien ne résiste à la corruption, ce n'est qu'une question de prix.

 

Même le Vatican est corrompu, les Papes qui se sont risqués à remettre de l'ordre sont rares, comme déjà mis c'est ce qui a couté la vie à Jean-Paul 1er et la raison de la tentative d'assassinat de Jean-Paul II même si celle invoquée, officielle, diffère.

 

Les journalistes du Vatican sont au même diapason que leur collègues privés, achetés et soumis à ne rien dire de ce qui pourrait faire "sauter" une institution, quelle soit politique, religieuse ou financière, surtout financière.

 

La soumission passe par plusieurs phases, la hiérarchie, le pouvoir (Accompagné des forces de l'ordre également soumises mais pour d'autres raisons), l'argent et les menaces physiques ou sur la famille.

 

La société actuelle est conçue de telle sorte qu'il lui est impossible de se passer de corruption d'Etat tellement la machine est pourrie, si l'un tombe le reste suis.

 

L'avantage du pouvoir c'est de détenir la force qui tient tout, la finance c'est la colle qui rend cohérent un fonctionnemnet corrompu, les seuls qui seraient en mesure de défier ce fonctionnement sont ceux qui l'alimentent financièrement, les peuples donc qui sont soumis par la force acheté.

 

C'est aussi pour cette raison qu'un peuple seul ne peut rien faire sauf s'il arrive à se ralier les forces à la disposition du pouvoir.

 

Là le rôle des journalistes est capital.

 

Par l'argent et la notoriété, même illusoire, les médias détiennent les plus grands pouvoir après l'Etat, celui de persuader les peuples de ce que veulent obtenir ceux qui les dirigent, les oppriment et les soumettent.

 

Le journalisme est donc cet énorme pouvoir de récolter et transmettre des informations. Jusque là tout va bien.

 

Suivant le journal, son impact, sa diffusion et la nature des informations préférentielles, ces dernières se transforment, se travaillent, s'enbellissent ou s'enlaidissent suivant que ça sert telle ou telle cause.

 

La cause du pouvoir est prioritaire, ce dernier a, sur la plupart des médias, une emprise colossale, non pas par désir d'informer mais par volonté de désinformler.

 

Par l'argent et la notoriété les médias suivent.

 

Journalisme ou journalistes ?

Le journaliste d'aujourd'hui.

 

Est soumis ou acheté, il n'a d'autres choix que de diffuser ce qu'on lui demande de diffuser.

 

Prenons l'exemple de Briançon par exemple, il y a le journal local, le Dauphiné Libéré (Entre autres petits médias) et d'ICITV sponsorisée par la municipalité (Aux frais des contribuables) pour faire la promotion d'une ville dans un état lamentable.

 

Plus éloigné il y a ALPES 1 qui fait aussi de la propagande à la place de l'information.

 

Sur le Dauphiné il arrive, rarement, que soit fait mention du mauvais état de telle ou telle partie de la ville, il faut un évènement spécifique pour le dénoncer (Accidents).

 

L'information, par définition, doit mettre au service du public la réalité de ce qui est, sauf que ça ne sert pas la municipalité qui veut montrer une image valorisante de ce qui est pourri (Routes et rues, vétusté des approches de la ville, crasse chronique dans beaucoup d'endroits, monuments dégradés, etc..) bien que cette même municipalité dispose de son propre journal de propagande pudiquement appelé "bulletin municipal" qui ne reflète que ce que veut bien y mettre la municipalité, donc pas ce qui dévalorise la ville.

 

A Briançon ça s'appelle "Place Publique", en fait aucune place pour le public, juste une petite place d'une demi-page pour l'opposition après que la censure locale ait vérifié que c'était acceptable.

 

Une forme de fonctionnement totalitaire à imposer localement.

 

Si les journaux, écrits, parlés et télévisés locaux avaient vraiment révélé l'état de la ville de Briançon aux élections municipales le maire actuel n'aurait certainement pas été réélu bien que ses adversaires aient tout fait pour çà. (Voir mes pages sur les élections de 2014)

 

Les journalistes passent plus de temps à "torpiller" des adversaires politiques qu'à faire la promotion d'un programme quel qu'il soit, c'est ce qu'on appelle de la désinformation.

 

La majorité des gens sont avides de sensations, de ragots, d'histoires la plupart inventées, savoir ce qui se passe chez un voisin ou une connaissance locale par exemple, c'est la matière première du journaliste local en dehors des cuculteries habituelles qui remplissent les pages si pauvres en véritables informations.

 

Journalisme ou journalistes ?
Journalisme ou journalistes ?

L'école du journalisme.

 

Là où on "forme" les futurs journalistes, n'y connaissant rien je ne vais pas écrire sur le sujet mais j'ai été approché par des "élèves" de cette école, du moins se présentant comme tels.

 

C'était le 3 Février 2016, la veille j'avais été appelé sur mon portable, cependant, comme je filtre mes appels, je n'ai pas répondu ne reconnaissant pas ce numéro. 

 

J'ai partiellement effacé les coordonnées pour préserver l'anonymat de mes correspondants mais pour qu'eux se reconnaissent. (A la suite)

 

Le sujet de l'immigration est un des plus fournisseurs d'actualités toujours fraiches, les migrants de Briançon n'y échappent donc pas et ces jeunes gens journalistes (Je suppose, je ne les ait jamais vu mais quand on va à l'école ce n'est pas à quarante ans) faisaient donc un reportage, dans le cadre de leur enseignement je suppose.

 

Ayant parcouru une des pages de mon blog ils ont trouvé que certains de mes articles valaient peut-être de s'y intéresser, la fréquentation de mes pages est très satisfaisante et influe parfois à certains niveaux.

 

Le sujet des migrants les a donc interpellé et l'un d'eux m'a proposé une petite interview trouvant ma position en contradiction par rapport à tout ce qu'il aurait vu et entendu à Briançon, je suppose qu'il n'a rencontré que des élus et des responsables de ce mouvement pro-migrants briançonnais qui n'a pas de nom.

 

Un RDV a donc été fixé à un lieu bien précis, chez moi. D'accord sur le lieu et l'heure j'ai attendu que ces braves gens arrivent, encore en plein reportage avec un autre interviewé de Briançon.

 

A l'heure dite, je reçois un appel me disant que le temps leur étant compté ils ne pouvaient plus venir, qui plus est Cervières leur a semblé brusquement inaccessible surtout qu'il tombait une petite neige fine que même le moins habitué aurait fait rigoler, peu importe, j'ai joué le jeu.

 

Prétextant des pneus lisses sur leur véhicule (Quand on vient de Nice en plein hiver sachant qu'on se rend dans des lieux fréquemment enneigés on ne se risque pas avec des pneus lisses d'autant que c'est interdit par la Loi, un comble pour des "futurs" journalistes) mon interlocuteur m'a dit ne pas pouvoir venir mais qu'il me recontacterait téléphoniquement pour avoir mon avis, un peu comme un employeur dit "on vous écrira". Je sais ce que ça veut dire.

 

C'est gros mais des fois que ça marche.

 

Peu importe donc puisque plus d'un mois après je n'ai pas été recontacté pour une interwiev afin de la diffuser dans une émission, certainement dans le cadre de cette école.

 

Soit il faut plusieurs mois pour faire cette émission, soit j'ai été évité après avoir été approché.

 

En fait c'est la deuxième hypothèse qui prévaut, ces jeunes gens ayant fait part de leur intention de m'approcher, dans le cadre des migrants de Briançon, à leur interlocuteur du moment, il y a de très fortes probabilités pour que ce dernier les ait dissuadé de me rencontrer, mes vérités ne plaisent pas à tous le monde et faire pression pour que le sujet garde son côté humanitaire doré prévaut pour ceux qui craignent que l'opinion publique ne découvre l'envers du décors, on dit aussi désinformation.

 

Mais je dors bien quand-même et n'ai pas été traumatisé par ce loupé volontaire.

    

 

Journalisme ou journalistes ?
Journalisme ou journalistes ?
Journalisme ou journalistes ?

Je garde tout.

 

Y compris les messages SMS et les enregistrements téléphoniques, c'est toujours utile et on ne sait jamais, il arrive que ma mémoire fasse défaut.

 

On ne peut être plus clair sur le désir de me rencontrer.

 

Passons donc cet épisode comique pour se pencher sur le sérieux de ces gens.

 

J'ai un peu de mal à admettre que ces futurs journalistes soient déjà corrompus et incités à ne choisir qu'une actualité factuelle ciblée et non ce qui pourrait faire de cette actualité une réalité plus solide pour informer de potentiels lecteurs, ou téléspectateurs dans le cas présent puisque ce devait être filmé.

 

Journalisme ou journalistes ?

En 1995.

 

J'avais été interviewé par une collaboratrice de Patrick-Poivre-d'Arvor, qui s'est déplacée avec son équipe de caméraman, perchiste et autres, sur le sujet puisque j'ai été témoins direct de cette agression, alors que j'habitait provisoirement à plus de 130 km de Paris. (Et oui, je faisait 260 km par jour pour aller bosser, j'ai survécu)

 

A l'époque le journalisme avait encore le sens réel de sa déontologie, prendre des informations diverses et monter un reportage qui faisait état du tout, le pour et le contre, les journalistes n'étaient pas encore contraints d'obéir à un fonctionnement totalitaire, ce qu'est devenu la gouvernance de la France.

 

J'ai pu constater que le reportage dans lequel je suis apparu au JT de 20h00, présenté par PPDA, n'avait subit aucune modification ni coupure.

 

L'agent dont les jours ne sont plus en danger je l'ai rencontré des mois après à Nanterre Préfecture, gravement atteint et subissant des séquelles neurologiques il a été déplacé sur une voie de garage. (Sans possibilité d'évoluer donc)

 

C'est bien là, aujourd'hui, qu'on constate l'énorme dérive de la politique française qui influe sur les médias pour ne diffuser que ce que l'Etat accorde, surtout des sujets tendants à glorifier un dysfonctionnement permanent, Mrs Hollande et Valls n'ont pas de leçons à prendre auprès de Kim Jong-un, tyran de la Corée du Nord, les méthodes sont assez approchantes bien qu'encore ténues, c'est juste une question de temps.

 

La démocratie n'existe plus puisqu'elle passe obligatoirement par le filtre d'Etat afin que le peuple ne soit informé que de ce qu'on veut bien lui faire avaler.

 

Cette servitude volontaire est caractéristique des populations qui sont aveugles et refusent de voir pour préserver le semblant d'aise éphémère dont elles disposent provisoirement.

 

C'est la soumission par le temps et l'adaptation sournoise induite.

 

Les "flash" infos sont là pour imprégner les cerveaux à leur insu, plusieurs "flash" sont ainsi envoyés sur les récepteurs TV pour ensuite être développés dans une émission, le reste suit, la persuasion fort d'avoir influé sur l'inconscient des images préparées en ce sens. (Méthode connue et très efficace, très largement employée pour la publicité)

 

Journalisme ou journalistes ?

La finalité.

 

Voilà nos journalistes en herbe déjà corrompus avant même d'être insérés dans un quotidien, cet apprentissage est inquiétant, soit on leur induit de ne pas être intègres pour protéger une cause, soit on les trahit en leur inculquant une instruction qui va à l'encontre de la déontologie de leur "noble" métier.

 

Savoir aussi que les écoles de journalisme sont gérées par l'Etat, c'est déjà réaliser la force de la propagande et la soumission des peuples via leurs médias corrompus et avilis.

 

Pendant la campagne électorale des municipales de 2014, j'ai été téléphoniquement interrogé par Alex CAM de Alpes 1, cette radio locale engagée et partisane.

 

S'est confirmé cette dérive journalistique des individus (Je ne sais pas s'il est journaliste confirmé ou juste un présentateur opportunément bien placé pour "X" raisons), ce dernier s'est imposé comme "juge" de faits éloignés de la campagne électorale mais, ayant l'occasion de cogner sur le FN qu'il éxècre, il induit dans son reportage le fonctionnement non pas d'une radio locale mais le fonctionnement d'une propagande ciblée, Alpes 1 la radio des émissions fabriquées pour la propagande.

 

Sa façon de cibler ce qu'il a envie d'entendre c'est la spécialité de ceux qui posent des questions pour éviter d'écouter la réponse en posant d'autres questions coupant ainsi la parole de ceux qu'ils interrogent.

 

Pour l'auditeur ou le téléspectateur c'est joué, on induit une situation sans laisser la possibilité à l'interviewé de s'exprimer, pour le grand public la question vaut réponse, voilà comment on fabrique la désinformation et qu'on tend la population a avoir une vue fausse des évènements ou individus.

 

Comme c'était une période durant laquelle j'étais malade et sous médication perturbant mon fonctionnement mémoriel c'est donc du vent qu'il a réussi à avoir.

 

Comme je me fiche totalement de ce que les gens peuvent penser de moi et que je me fiche tout autant qu'on dénonce médiatiquement mon appartenance au FN je doute que ce Mr ait pu être satisfait de son travail.

 

Juste attendre et voir venir parce que ce que les journalistes engagés ne semble pas réaliser c'est que le vent tourne en permanence, d'être impliqué dans un fonctionnement décadent risque de leur porter préjudice, plus tard, quand le fonctionnement d'Etat aura changé de tendance, il y en a qui vont s'en mordre les doigts.

 

Journalisme ou journalistes ?

La Hollandie c'est bientôt terminé.

 

Les dégâts considérables générés par ce veau vont marquer la France sur des décennies, il y a aussi l'irréparable, ce sur quoi on ne pourra plus revenir, il y a aussi les victimes à venir des dégradations communautaires parce que dès que le pouvoir va changer il va y avoir des mouvements importants qui vont générer d'énormes problèmes sociétaires, des mouvements de foules, des combats et des morts, c'est inéluctable, les menteurs d'aujourd'hui sont les premières victimes de demain.

 

Où seront les médias actuels ?

 

Où se placeront ceux qui démolissent le peuple par des informations volontairement déformés au service d'un Etat totalitaire ?

 

Heureusement qu'il y a des médias indépendants bien que Mr Valls verrait bien les museler, voire les faire disparaitre en les faisant taire sauf que quand on essaie de faire taire quelqu'un il devient de plus en plus bavard.

 

J'espère que les futurs journalistes pas encore vérolés par les pressions et les miroitants gains trop faciles feront du vrai travail de journaliste, afin de réellement mettre au jour ce que nos deux derniers Présidents de la République se sont efforcés de garder bien caché dans l'ombre. 

 

Parce que celui par qui tout à commencé à se dégrader au niveau sociétaire, c'est Sarkosy, pas Hollande, ce dernier n'a fait que continuer la politique du premier, la différence droite/gauche c'est juste pour le peuple.

 

A très bientôt pour autre chose.

 

Bonne soirée à tous.

 

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